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L’autre dans notre intimité – Partie 3
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L’autre dans notre Intimité 3

Une simple fleur peut parfois changer votre vie.
… Mais revenons à cette obligation de conscience que nous sommes fait de plusieurs matières, de plusieurs subtilités. Je vous le disais un peu plus haut dans le précédent article sur le même sujet, si nous ne sommes pas conscient ou si nous n’occupons pas, si nous n’habitons pas notre corps dans sa totalité (corps physique, corps énergétiques, corps subtils), alors d’autres énergies, d’autres pensées, d’autres subtilités et d’autres personnes vont le faire pour nous. C’est à dire vont prendre possession de notre corps, de notre esprit. Dans l’autre sens, si nous prenons de plus en plus conscience de notre corps et de notre esprit, des instants que nous vivons, de la subtilité qui nous accompagne en chacun de levitra imaginarybillboards.com nos moments quotidiens, alors notre présence n’en sera que plus grande. C’est un peu comme poser le regard sur une présence continuelle, que sont notre esprit, notre corps et notre subtilité. Et le fait de poser le regard, fait que nos énergies, notre force de vie, sont présentes en même temps que notre esprit, notre corps et dans le même instant, en posant cette conscience, nous devenons donc une personne plus complète et nous n’avons pas à faire appel à beaucoup d’énergie pour communiquer et nous faire comprendre.
Posez la dimension sacré de notre corps mais aussi de notre esprit et de notre intimité est une chose aisée. C’est facile et à notre portée. Il suffit d’y « ajouter » de nous et seulement de nous, dans le don de soi (non pas dans le paraître), d’y « ajouter » de l’abandon de soi (non pas en étant sur la défensive et ne pas être non plus dans un complet relâchement) pour l’instant qui se présente, en restant centré sur soi et dans chaque moment. Mais le mot « ajouter » n’est peut être pas le terme approprié car il s’agit avant tout d’enlever les protections que nous nous sommes mises, croyant qu’elles nous protègeraient. Nous sommes pourvu d’habits imbibés d’émotions/réactions que l’on a placé en guise de protection et le fait de les enlever, nous place bien sûr dans notre fragilité qui développe une certaine fébrilité et aussi de la peur ainsi qu’un sentiment de ne pas contrôler la situation. C’est à cet engagement total, à cette présence dans l’instant, que nous pourrons nous rencontrer et nous voir tel que nous sommes. Même pour une simple rencontre, même pour un simple regard, même lorsque nous croisons quelqu’un, soyons nous même, présent à nous même dans l’instant et dans notre totalité.
Car si nous pratiquons souvent cette vision de comprar kamagra en venlo nous même, nous allons pouvoir déceler en un instant non seulement, le jeu, le masque, la distorsion, la retenue, parfois même la fuite de la personne qui se trouve en face de nous, mais également tout notre système de communication incluant nos émotions, nos réactions, nos pensées, nos interdépendances et nos actions. Continuer la lecture
Se Pauser – Se poser

Vaste sujet n’est-ce pas ?
Car se poser peut se faire de différentes manières. Il ne suffit pas seulement de poser ou de relaxer notre corps pour pouvoir poser notre esprit. Et il ne suffit pas de poser notre esprit pour que notre corps se relâche ou pour que notre corps se relaxe.
Poser son corps pour pouvoir ressentir le relâchement ou autrement dit, ne plus ressentir de levitra ohne rezept kaufen tension dans les muscles ou les membres de notre corps. A première vue ça à l’air d’une facilité déconcertante. Mais si l’on se penche sur les couches profondes de notre anatomie, cela devient un peu plus complexe.
La superficialité on connaît. Mais lorsqu’il s’agit d’aller dans les profondeurs, ceci demande une attention toute particulière. Sur la peau, mais aussi les muscles, les tendons, les os, la position du corps et même jusqu’au système nerveux qui positionne le corps en tension intérieure. Les émotions, peut être le stress ou en tous cas des résidus de la journée, des situations non finalisées etc, place notre corps en tension même légère. C’est à dire qu’à première vue le corps est relâché, mais il demeure en tension et s’exprime en le mettant dans une position dynamique.
L’autre dans notre intimité – Partie 2
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L’autre dans notre intimité 2

…Si nous continuons dans la rencontre avec l’autre et si bien-sûr nous allons jusqu’au physique, il est bien évident que d’autres paramètres vont émergés. Je parlais de confiance dans l’article partie 1, car elle est primordial dans une relation pour que l’on soit pleinement ouvert, pleinement dans l’écoute et surtout pleinement en phase et en parfaite harmonie intérieure. Je parle bien entendu de la confiance en soi et non pas de la confiance dans l’autre. Car si tel est le cas, la confiance est placé dans l’autre, il s’agit là d’une confiance conditionnelle et donc qui sera instable puisque liée à l’autre, et les gestes, nos gestes, et nos verbes s’en ressentiront. Si nous sommes confiant en nous même de ce que nous disons, de ce que nous faisons (non pas par rapport à l’autre mais bien pour nous) et de ce que nous pensons, alors l’autre pourra ce faire confiance. C’est donc par ce que nous sommes, par qui nous sommes et non ce que nous donnons à l’autre qui le placera dans sa confiance. Dans tous les cas il ou elle aura la possibilité de se faire confiance.
Parallèle avec une histoire fort connue. Lorsque nous donnons à quelqu’un du poisson pour manger, il deviendra dépendant. C’est lorsque nous lui montrons comment pêcher qu’il pourra trouver sa liberté. Avec la confiance c’est pareil. Encore faut-il que la personne soit désireuse d’entrer dans cette dynamique de vie et c’est là, que je vous parlais d’attention envers nous même et les autres, dans nos relations qu’elles soient amicales ou amoureuses.
D’autre part, et si nous « jouons » un jeu avec l’autre, alors nous nous retrouverons dans ce que nous avons créé. C’est à dire, des règles de jeu, des mauvais joueurs, des tricheurs, des voleurs, des passes de droits, des mielleux, des séducteurs, des pleurnicheurs, des acteurs, des spectateurs, des profiteurs, des clowns etc, et mêlé avec toutes ces faussent personnes, ces faux personnages, dans la rareté des moments de notre existence, nous pourrons croiser de vrais cœurs, des personnes sincères et honnêtes avec elles-même et proche du cœur même de la vie. Mais aurons-nous la faculté de les voir, de les reconnaître dans tous ce fatras ?
Nouvelle méditation
Voici une nouvelle méditation guidée du deuxième cycle.
La respiration subtile. Respirer avec son corps, ses poumons, son ventre sont des réflexes naturels. Porter son attention sur d’autres points plus subtils sur notre corps et les faire respirer est une autre manière de percevoir notre monde, une autre manière de vivre son corps. Nous avons un corps physique avec sa superficialité que nous faisons travailler chaque jour en plus ou moins conscience.
La marche, le sport, nos 5 sens, les émotions sont des moyens que nous utilisons quotidiennement, mais nous ne faisons travailler notre subtilité que très rarement. Nos corps subtiles ont besoin de notre présence pour nous faire vivre, pour nous aider à nous nourrir mais aussi à soigner notre physique. S’ils ne sont pas entretenus, ils sont laissés à n’importe quelles autres énergies et de grandes répercutions sont à prévoir sur notre corps physique.
La plus grande source de déséquilibre de notre corps ? La non présence à soi. C’est à dire la non présence à son corps et à son esprit.
La plus grande source de pollution ? Nos pensées négatives.
Mais commençons par la présence à soi. Par la respiration, nous pouvons accéder aux parties de notre corps que nous n’occupons pas dont nous n’avons pas la conscience. Respirer avec ses parties subtiles est un gage d’espace intérieur, de tranquillité et de sérénité.
L’autre dans notre intimité – Partie 1

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L’autre dans notre intimite 1
On ne prend plus le temps. Nous sommes devenus des consommateurs de tout. Lorsque nous avons un compagnon ou une compagne nous devenons parfois même consommateur de l’autre.
Il y a quelques temps, j’ai entendu dire qu’une personne âgée avait dit : « De mon temps, nous réparions ce qui était cassé ou abimé. Aujourd’hui nous ne réparons plus, nous jetons ».
C’est valable aussi bien dans notre consommation quotidienne que dans nos relations. Lorsque quelque chose ne va pas, on le change. Et la dualité c’est que plus nous vieillissons, plus nous prenons de l’âge, plus le désir de changer les partie non matérielle, spirituelle s’éloignent, pour devenir un désir de changement matériel puis, plus aucun changement. Notre évolution ne présente plus d’intérêt ou plutôt notre évolution se cantonne à avoir, à posséder et à utiliser. Nous nous encroutons dans l’idée que de toute manière nous ne sommes pas seul puisque nous sommes accompagnés, que nous avons un confort et puis finalement, on se dit que ce confort est pas mal du tout. Nous créons donc une zone de confort dans laquelle nous nous complaisons. Autant de situations que nous procrastinons. Mais ce n’est pas comme cela, que nous résolvons notre mal être ou, que nous prenons conscience que nous ne sommes pas à notre réelle place ou encore que la personne qui partage notre quotidien ne favorise pas ou empêche notre liberté, notre évolution ou encore notre espace et notre place. Dans tous les cas, il manque quelque chose pour parfaire à notre bonheur, pour parfaire à notre quiétude intérieure.
Il faut savoir que comme pour toutes les situations mal gérées, ces situations perdurent énergétiquement, c’est à dire que l’information, l’intention subtile est toujours présente dans notre corps et va maintenir les tensions à leur maximum tant que la compréhension ne se fera pas. Compréhension au niveau de l’esprit mais aussi compréhension au niveau vibratoire, c’est à dire au niveau subtile. Après on s’étonne que des personnes fassent des cancers, des infarctus… Non non, ces faits ne sont pas toujours liés à l’alimentation. L’alimentation fait partie des facteurs aggravants parfois même révélateurs. La cause étant que la situation ou le schéma est mal géré dès le départ, et notre corps en porte les stigmates invisibles au départ, mais rendu visible par le temps. Les rides, les déformations de certaines parties du corps, sinon dans sa totalité, le caractère de la personne et aussi l’intérieur du corps avec sa fluidité, son absorption, sa digestion, sa circulation etc. Tout se modifie, tout se transforme selon la stabilité plus ou moins prononcée de notre esprit et de se fait de notre corps.
Si nous rentrons un peu plus loin dans la perception de l’autre, du conjoint, nous nous rendrons compte que nous allons découvrir énormément d’information le ou la concernant mais aussi nous concernant. Le but étant de rester vigilant par rapport à nous, dans la conscience de qui nous sommes et de ce qui est bon pour notre corps, notre esprit, notre âme et notre intention.
Mais sommes-nous toujours en phase avec cela en étant accompagnés ? Sommes-nous toujours en phase avec notre bien aimé(e) ?
Les Bardos par Chépadorje Rinpoché
Qu’entend-on maintenant par « bardo » ?
Le mot tibétain est fait de 2 mots : « bar » qui veut dire état, et « do » qui veut dire résider dans un intervalle.
Il s’agit d’un état entre deux autres états, l’un s’étant achevé et le suivant n’étant pas encore apparu, comme si l’on résidait dans une vallée entre deux montagnes. On définit successivement : le bardo de la naissance (on demeure dans une vie donnée), le bardo du rêve, le bardo de la concentration ou de l’absorption méditative, le bardo du moment de la mort qui fit l’objet de la dernière conférence, le bardo de ce qu’on nomme la « dharmata » en sanscrit, c’est-à-dire de la nature même des phénomènes, et enfin le bardo du devenir. Les deux derniers interviennent après la mort.
| Notes lesintuitions.com : Les bardos peuvent être assimilés lorsque notre esprit n’est pas encore maîtrisé, et que nous sommes sur le chemin de la voie de l’éveil, on peut dire aussi la voie du réel. Notre esprit oscille de son aspect grossier, c’est à dire non maitrisé, vers son aspect subtile, c’est à dire vers la maîtrise. L’intervalle entre ces deux aspects s’appelle les bardos. C’est lorsque notre esprit n’est plus en conscience de lui même. Il se retrouve alors dans un intervalle. Utilisant la concentration, l’attention et la vigilance, la méditation, nous pouvons ainsi porter le regard sur ces intervalles, ces interstices et travailler sur les bardos, pour que notre chemin et surtout notre esprit devienne plus clair. |
La Guérison
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Guérison
On parle souvent de guérison. Mais qu’est-ce qu’on peut dire sur la guérison ?
Le sujet est vaste.
On défini la guérison généralement par ces mots : Disparition totale des symptômes d’une maladie ou des conséquences d’une blessure avec retour à l’état de santé antérieur.
Pour moi et pour l’instant, il y a quatre pôles fondamentaux pour que la guérison est le plus de chance de s’installer.
La guérison du physique, la guérison de l’esprit, la guérison de l’âme, la guérison de l’intention.
La Guérison du corps physique :
Un corps sain n’est pas forcément un corps sportif. Le sport est un facteur d’épuisement énergétique car bien souvent pratiqué dans la tension et l’excès. Le sport vous permet de faire circuler vos toxines car votre corps est soumis à une accélération de tous les systèmes qui le composent. Encore faut-il, par la suite faire sortir ces toxines. Sinon elle vont se reposer et se re-stocker dans votre corps et parfois même dans des endroits qui n’étaient pas prévus. Un corps sain est avant tout un corps sans stress avec très peu de toxine et surtout c’est un corps relâché avec de l’espace intérieur (Relâcher ne veut pas dire laisser aller) et l’espace intérieur c’est un corps au repos celui dont les mouvements se font dans la fluidité ; la guérison passe par la fluidité. S’il y a absence de fluidité, il y a altération et donc la guérison ne peut avoir lieu ou différemment, la maladie s’installe ou continue son processus.
Affirmer que le corps s’arrête de produire et de se régénérer à 25 ans est faux
Ne jamais oublier : Notre corps parle, notre corps se modifie, notre corps s’auto soigne,
notre corps s’auto régénère de la naissance à la mort.
Nouvelle Guidance, méditation, visualisation
C’est avec une joie et un plaisir immense que je vous annonce cette nouvelle Guidance/Méditation.
Perceptions Intérieures : La Circulation
Je vous souhaite beaucoup de soleil et de détente dans votre corps et votre cœur pour ces mois d’été qui arrivent.
Surtout ne vous oubliez pas !
Apportez-vous, chaque jour, de la tendresse et de la relaxation, de l’amour et de la passion.
N’oubliez pas de vous entourer de gens qui vous apportent joie et gaieté, ce qui permettra de favoriser votre évolution et votre partage. Un été réussi est un été empli de rires, de sourires et de tendresse, de calme intérieur.
Alors peut être la nature, la mer ou la montagne mais, en toutes circonstances et en toutes situations, n’oubliez pas d’être conscient, n’oubliez pas que le mental peut vous créer des problèmes et que le meilleur, c’est de prendre du recul sur les situations et les évènements que vous vivez. Aiguisez votre regard, caresser les vagues de vos émotions car vous avez besoin de tendresse et de douceur, accueillez ces moments avec votre ouverture d’esprit et le recul nécessaire à votre paix intérieure.
La liberté intérieure passe par la pratique :
| S’exprimer | Ce que l’on réprime, s’imprime |
| Dédramatiser | Ce à quoi l’on résiste, persiste |
| S’enraciner | Ce que l’on fuit, nous poursuit |
| Lâcher prise | Ce qui nous affecte, nous infecte |
| Se responsabiliser | Ce à quoi l’on fait face, s’efface |
| S’unifier | Ce que l’on visualise, tente à se matérialiser |
| Rayonner | Ce que l’on bénit, nous ravit ! |
Souriez à la vie 🙂 et bon été à toutes et tous.
A bientôt
Hervé
Peur de bien faire ou recherche d’évolution
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Peur de Bien faire
Souvent nous faisons des choses sans que nous sachions ce qui nous conduit profondément. La peur de bien faire est assez subtile dans notre choix d’appréhender les situations. Même dans nos choix de nous faire plaisir, de nous offrir une certaine tendresse et aussi dans le choix de notre partenaire.
Vouloir bien faire est tout à fait légitime mais vouloir, par le simple fait d’avoir peur de mal faire et de perdre une certaine reconnaissance extérieure, de perdre une certaine puissance, de perdre une certaine assise sociale, peuvent nous conduire dans des mal-êtres souvent inconscients.
Pour chaque situation nouvelle, je me pose la question :
« Qu’est-ce qui me conduit, me dynamise, me guide, là maintenant ?
L’apprentissage, l’ouverture, la curiosité, le bien être, la fluidité, la sérénité
ou le besoin d’être au top, le besoin de bien faire, le besoin de montrer, de faire voir ? »
La théorie des noeux
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Théorie des noeux
Tout d’abord, qu’est-ce qu’un noeux. Un noeux peux-être un schémas, une situation qui se répète sous l’apparence parfois de personnes et/où d’évènements.
Pour éviter ces noeux, il faut une bonne dose d’attention et de patience, de vigilance et de perspicacité et surtout, avoir la pratique du changement de l’esprit, pour ne pas se faire happer par les situations et très souvent les remontés d’émotions.
Au début, nous sommes une machine à penser dont environ 5% des pensées nous servent. Le reste n’est que du vagabondage. Lorsque nous faisons appel à certaines pratiques régulières, les pensées vagabondes s’effacent pour faire naître un esprit plus en paix. Non nous n’augmentons pas le pourcentage de pensées « utiles » (ça c’est pour les esprits en recherche de performance) mais d’un point de vue extérieur, les pensées se font plus « lentes ». C’est à dire que l’esprit vagabond va beaucoup moins interférer dans le système de pensée et donc nous allons faire place à la réception d’informations et non la sollicitation d’informations. Les pensées vagabondes nous mènent à des émotions qui génèrent des états dans lesquels nous baignons allègrement. Ces états sont directement liés à la loi d’attraction :
J’attire ce que je vibre.
Nous vibrons ainsi nos émotions ou plutôt nos états qui dépendent de nos émotions, qui dépendent de notre esprit non maîtrisé. Il ne s’agit pas de forcer notre esprit à ne plus penser, à ne plus se débattre, ou encore partir à la guerre contre notre égo, mais bien de VOIR ce qu’il se passe exactement et de faire un choix conscient de continuer cette pensée ou non sans la saisir de quelques manières que ce soit. Peut être que pour certain, cela paraît complètement venue d’une autre planète mais, vous me permettrez de juger ici, et que pour ces certaines personnes c’est leur égo et leur esprit grossier, limité qui tente à les dissuader de le faire par n’importe quels moyens. Normal, l’ego est en danger et il croit que l’on va lui prendre sa place et il aura bien raison.
Enseignement du Bien-Être pour les nuls
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Bien-Étre pour les nuls
Bon nombre de personnes utilisent le terme BIEN-ÊTRE pour nous vendre les mérites d’un produit, d’un exercice ou encore d’une cure…
Le bien-être est tout d’abord un état.
Cet état dépend de nous, car il s’agit avant tout de nous et de la capacité que nous avons à accepter le bien-être.
Le bien-être ne peut être donné et encore moins acheté, mais bien pratiqué, intégré c’est à dire comprit au quotidien.
Lorsque nous nous offrons une cure, une séance de relaxation, il est bien évident que nous nous offrons, en premier lieu, du temps pour nous. Et c’est déjà le premier pas. Je dirais même plus, c’est la base pour commencer à entrez dans le bien-être. Car le corps est aussi important que l’esprit. Un corps relaxé, bien dans sa peau, fait relâcher l’esprit. Un esprit clair, détendu et en confiance intérieure voit les besoins du corps avec une grande finesse et une grande justesse.
Si le temps que nous prenons pour nous est vraiment bien employé pour nous et uniquement pour nous, alors n’importe quelles séances relaxantes feront l’affaire. Même une séance de relax canapé (sans télé et sans bouquin juste avec soi même).
Et si nous commencions à penser autrement ?
Rester dans cette dynamique voudrait dire que le Bien-Être ne fonctionne qu’avec une situation ou encore un événement extérieur. C’est à dire que cela peut s’acheter, se vendre, se négocier ou simplement dépendre du temps que nous prenons pour nous…