conscience

L’esprit, le corps, la conscience

Nature

Écouter l’article L’esprit, le corps, la conscience
L’esprit, le corps, la conscience février 2020

Il y a tant de choses, tant d’événements, par où commencer un chemin d’éveil de conscience.

Lorsqu’on nous parle de conscience qu’en est-il ?
Lorsqu’on nous parle de lâcher prise savons-nous de quoi il est question ?

Dans tous les cas où sommes-nous, et qui est ce nous qu’il faut chercher où plutôt qu’il faut trouver ou même définir ?

Nous savons qui nous sommes. Mais savoir ce QUE nous sommes et bien plus vaste que nous le pensons. Vaste mais pas impossible à connaître. Nous avons besoin de patience et d’observation. Le sujet c’est donc nous, disponible à toutes heures du jour et de la nuit.

Lorsqu’on parle de conscience c’est bien évidement que nous soyons présent à ce que nous faisons, à ce que nous pensons, à ce que nous disons dans chaque instant et à chaque moment de notre quotidien. La conscience c’est la présence à soi et à l’expérience de l’événement ou de la situation de l’instant.

Le lâcher prise est, premièrement, le non engagement aux événements qui ne nous concerne pas. Deuxièmement, c’est le non contrôle des événements ou des situations que nous vivons dans chaque instant. Troisièmement, c’est la non saisie en toute chose, la position de l’observateur mais pas seulement, car l’implication peut se révéler de plusieurs manières et de plusieurs formes (ex: la fuite en prenant la position de l’observateur alors que l’implication peut se faire dans l’émotion et/ou le non visible).

Le lâcher prise pour qu’il soit complété se fait dans le physique, le subtile et l’énergétique et le non visible. La parole ne suffit pas. Comme un bateau qui quitte le quai, toutes les amarres doivent être enlevées.

Continuer la lecture

Le changement, the Shift

C'est vousDurant les années où j’ai parcouru les pays, regardé les personnes vivre, me connecter à des groupes sociaux, échangé avec des personnes de tout niveaux sociaux, je me suis aperçu que beaucoup de gens disaient que la terre montait en vibration, que nos énergies étaient suscitées par d’autres énergies, que des guides, des anges et toutes autres formes venant d’un ailleurs, arrivent jusqu’à notre compréhension, nos ressentis… que nous sommes en 4d, en 5d, en 6d en 8d, que nous devons suivre certains changements, être ceci ou cela etc.

Finalement tout cela est vrai !
Nous vivons nos croyances.

Mais vous, que faites-vous pour vous ?
Avez-vous les outils qui vous permettent de changer et mettez-vous en pratique ces outils ?
ou contentez-vous simplement de passer l’information et de dire faites ceci ou cela ?

Avez-vous ne serait-ce qu’une pensée pour vous pour pratiquer votre idéal et de ce fait, voir s’il est applicable pour le monde où vous êtes ; pour la situation où vous vous trouvez, pour l’humain que vous êtes et non l’humain que vous croyez que vous êtes ?

Je ne vois que de l’information mais toujours rien au niveau de vos consciences, au niveau de vos comportements, pour vous. Pour ce que je vois, ce ne sont que des images, mais toujours rien, je ne vois que, excitation mais toujours rien pour vous.

Et votre évolution mes chers enfants, l’évolution de votre conscience ?
Il n’est pas conscience simplement de dire, j’ai vu ça ou ça, j’ai fait ça ou ça !

Ne croyez vous pas que de changer votre façon de faire, de changer votre façon de penser, de changer votre façon de partager, de dire, d’échanger avec les autres, de changer votre façon que vous avez à communiquer avec vous-même, avec votre intimité, votre intérieur, elle ne serait pas plus précise et puissante si vous établissiez un réel lien avec vous même et la profondeur de vous même ?

Continuer la lecture

Nature

Nature

Écouter l’article Nature
Nature

Bon nombre de personnes disent que nous venons des grecs, des latins, des romains, des francs (germaniques), des arabes, que nous sommes d’origine de notre pays, américains, français, chinois ou australiens parce que nous avons été influencé par d’autres ethnies ou parce que nous sommes nés dans ce pays etc…

Mais est-ce là notre véritable nature ?

Bien sûr nous avons eu des influences et nous en avons encore et bien plus que nous le croyons. Regardons simplement les alliances entre pays, notre manière de nous alimenter ou encore l’environnement social qui n’est certes pas pareil, par exemple d’un pays du sud-est de l’Asie et d’un pays nord-Européen. Mais ces influences ne sont que de la communication, la manière de nous exprimer verbalement et parfois même pour exprimer quelques pas de danse différents, nous pourrions dire.

Pour des anglophones, dirions nous que tous les anglophones sont anglais ?
Ou dirions nous que tous les francophones sont français ?
Peut être même, dirions nous que tous les humains sont pareils, avec une égalité ou une liberté parfaitement égale ?

Si nous regardons bien la nature de la race humaine; car si l’on parle de races, il n’y a pas une race jaune, rouge, blanche ou noire, asiatique, caucasienne, africaine etc, mais une seule et même race celle de la race humaine ;

notre nature n’est pas seulement que de la communication. Les mots, la formulation, parfois même la notion de réflexion sont toutes empruntes d’influences. Mais là-dessous, devant toute cette globalité que forge notre être tout entier, la communication n’est en fait qu’une partie de cette expression. 90% du langage du corps ne fait pas parti du verbe. Doit on considérer que ces 90% sont d’influences grecques, latines, francs ou plutôt germaniques ou encore arabes ou autres ?
Si nous définissons le NOUS par les 90% qui nous habite, alors nous tentons à être fortement ces 90%. Et non pas les 10% restant si tentait même que l’on puisse en calculer le pourcentage.

La réalité n’est pas une coque que l’on nous attribut. Si nous nous laissons faire et bien peut être que nous deviendrons cette coque, cette limitation, cette programmation, mais nous verrons apparaître des désordres physiques, psychiques, car la nature véritable de l’être ne peut être longtemps retenue.

Certes nous sommes des bêtes ou encore des êtres voués à tuer ou encore violenter son prochain.

Ça c’est ce que nous croyons et c’est ce que l’on essaye de nous faire croire. Croire que c’est la seule porte de sortie ou encore résultante à appliquer dans les situations, n’est qu’une idéologie fantoche pour que l’on nous empêche de nous relier avec quelque chose de plus divin. Nous maintenir dans des vibrations basses ne s’agit là que d’effets liés a une cause, celle de laisser son esprit être emporté par des émotions mal gérées. Émotions mal gérées qui nous rendent aveugles face aux situations que nous vivons.

Notre nature véritable est composé de plusieurs choses et pas seulement ce qu’on nous évertue à mettre en avant. On tente de nous faire oublier 90% de ce que nous sommes au travers de séductions multiples et variées et essentiellement au travers du plaisir matériel quotidien. TV, Téléphone, derniers vêtements à la mode, argent, pornographie, même les couleurs des produits que l’on nous sert, l’éducation, l’enseignement, tout est fait pour nous vendre les mérites et plus particulièrement nous détourner de nous, de notre nature véritable, de nos possibilités. Même les mots sont détournés dans leur sens premiers pour que nous oublions notre sens critique, notre vision claire des choses et des situations.

Continuer la lecture

La nature des choses et des phénomènes

La nature des choses et des phénomènes

Écouter l’article
La nature des choses et des phénomènes

…/… Dans la façon dont nous avons de percevoir les phénomènes, il y a très souvent une différence entre la nature des choses, et comment elles nous apparaissent.

Bien sûr dans certains cas, on voit les choses telles qu’elles sont, mais la plupart du temps nous voyons les choses différemment, c’est-à-dire que la façon dont elles nous apparaissent n’est pas en harmonie ou en accord, n’est pas conforme à leur nature véritable.

On voit très souvent les êtres humains mais aussi les animaux, commettre des erreurs et observer qu’ils prennent une chose pour une autre. Il y a toutes sortes de méprises qui se produisent constamment dans l’existence et qui nous trompent, qui nous induisent en erreur. Ça c’est pour nos perceptions ordinaires, comme de voir une forme et de penser que c’est autre chose et donc ce genre de confusion se produit très souvent. Mais il y en a d’autres qui sont plus subtiles. Par exemple les phénomènes sont impermanent par nature jusqu’au niveau le plus subtile. Aucun phénomène ne peut demeurer identique à lui-même deux instants successifs, ça c’est pour la nature des choses.

La façon dont nous percevons est bien souvent comme quelque chose de permanent. Un objet, nous pensons qu’il existe, qu’il est permanent, qu’il semble solide, alors qu’en fait il change à chaque instant. Donc là il y a de nouveau une non-conformité dans la façon dont les choses nous apparaissent, et la façon dont ces choses sont. Ou encore il y a des choses qui nous semblent très attrayantes, qui nous semblent être source de bonheur, et qui en fait sont source de conflits, de troubles et de tourments. Donc elles nous apparaissent comme étant extrêmement attrayantes alors que leur nature sont en fait sources d’ennuis et de souffrances.

Continuer la lecture

Être humain

Être humain

Écouter l’article
Etre Humain

Un arbre est un arbre jusqu’à ce que l’on dise que ce n’est pas un arbre. Mais par exemple, que c’est une herbe. Du point de vue de notre taille, les arbres peuvent ressembler à un arbre comme nous les connaissons, comme on nous les a décrit. Avec leurs racines qui s’enfoncent dans la terre, leur tronc, leur écorce, leur branches et leur feuillages qui s’élèvent dans le ciel. Mais depuis un avion, nous n’allons voir que de l’étendue verte et la conception même de l’arbre si nous n’avons connu que cet angle de vue, celui du ciel, sera absent de notre regard et sera absent du domaine même de la connaissance de notre esprit. Qu’en est-il de notre condition d’humain ?

Bon nombre de personnes sentent, perçoivent que la condition dont on les nomme ne correspond pas tout à fait à leurs ressentis. Par exemple, certains ressentent qu’ils sont des femmes alors qu’ils sont pourvus d’une enveloppe d’homme. Certaines ressentent qu’elles sont des hommes alors qu’elles sont pourvues d’une enveloppe de femme. Ceci est bien connu de la plupart d’entre nous.

Aussi loin que vous pouvez vous souvenir, n’avez-vous jamais ressenti que vous n’étiez pas ce que l’on disait que vous étiez ? Pas forcément d’un autre sexe mais d’une autre condition. Par exemple que l’enveloppe du corps humain dont nous étions revêtu n’était pas la composante essentielle de notre être. Possible aussi qu’une autre perception est été présente, même une autre compréhension plus vaste de nous même ou peut être plus intérieure de nous même ? Peut être ressentez-vous encore aujourd’hui cette particularité ?

Ces questions ne sont pas là pour vous faire partir vers l’extérieur de vous même, mais bien de pouvoir vous faire toucher/ressentir, poser le regard sur la force qui est en vous, la force qui vous habite et qui compose cette existence qui est la votre sur cette terre où vous habitez. Il ne s’agit pas de faire un voyage et de se prendre pour un extraterrestre mais bien de rester dans vos chaussures, bien dans cette dimension qui est la votre et dont tous nous faisons partie.

Souvent, lorsque nous étions plus jeunes, nous nous sommes confrontés avec ce monde étrange où nous vivons actuellement. Je dis étrange car nous avions à l’époque, parfois pendant quelques mois ou durant des années, nous avions tant de questions à poser aux adultes que les adultes même étaient parfois décontenancés pour trouver une réponse. Ces questions les amenaient sur un chemin de réflexion, de sagesse parfois, avec beaucoup de différence dans la façon de penser de ces adultes. Nous suscitions de la réflexions chez ces mêmes adultes, de l’interrogation et parfois même de l’admiration, car ces paroles, ces commentaires, ces questions que nous posions étaient une mise en réflexion étonnante.

Continuer la lecture

Normalité

Normalité

Écouter l’article
Normalité


Les personnes veulent généralement devenir d’autres personnes. Nous ne voulons pas accepter la plupart du temps qui nous sommes. Nous voyons l’herbe plus verte chez les autres mais rarement chez nous. Pourtant, quoi de mieux que de voir et ressentir, être présent, lorsque toutes nos capacités s’expriment avec fluidité, s’expriment de l’intérieur vers l’extérieur tout en trouvant leurs places, leur justesse naturelle. De même sur notre environnement, nous croyons que la nature n’est rien ou qu’elle se laisse faire. Mais au contraire la nature est en perpétuels changements, mouvements et dans un rythme bien précis et respectueux de son équilibre.

Voici quelques années en arrière, nous comprenions fortement que le rythme des saisons était nécessaire pour notre survie sur cette planète. Aujourd’hui le temps n’est pas plutôt entré dans l’hiver que nous voulons sortir du printemps. Il n’est pas plutôt arrivé en automne que nous regrettons l’été avec sa chaleur et ses plages. Car nous considérons que la normalité devrait être l’été. Dans tous les cas, ce que nous considérons bien pour nous, devrait être la normalité. Nous ne travaillons plus les mal-êtres, nous ne nous posons pas ou plus les questions pourquoi nous ne sommes pas bien dans telles ou telles situations. Nous accélérons et nous changeons de normalité avec cette accélération, perdant de vue le rythme de chaque chose, la musique de chaque événement et la vibration en toutes choses, nonobstant le fait, que nous nous perdons dans le consumérisme et les compétitions de celui qui va aller le plus vite. Ainsi les situations, les événements que nous vivons au quotidien n’ont pas le temps de se terminer que nous passons à autre chose et de ce fait, bien des énergies, bien des mouvements, bien des situations restent en suspens. (CF article Effets secondaires )

Un centenaire disait que pour vivre longtemps nous devons consommer des aliments de notre région ou de la région où nous sommes nés. Que nous devons boire de l’eau du même endroit d’où nous venons. Si tentés que nous croyons à la réincarnation ou encore à d’autres existences non terrestres, nous venons sur terre avec des énergies bien particulières, des « branchements » très particuliers et des intentions bien précises qui souvent au fil des années s’éloignent de nous ou plutôt, nous pourrions dire que ce sont nos choix qui nous éloignent de nos énergies, nos branchements, nos intentions, car nous ne pratiquons plus ou peu la conscience de ces énergies dont nous sommes pourvus. Nos énergies sont spécifiques à nous et seulement à nous. Lorsque nous absorbons dans notre corps des substances alimentaires ou même de l’émotion (c’est aussi de l’absorption), que nous absorbions par le sensitif ou toutes autres formes d’absorption dont nous disposons et de quelque nature que ce soit, cela perturbe pas forcément en mal, mais cela perturbe, modifie, sensibilise aussi notre stabilité naturelle. Cela modifie nos énergies et notre corps doit faire preuve d’adaptation pour rétablir la fluidité. Nous pourrions dire qu’il y a encore des stimuli, des besoins de notre véhicule, le corps humain, de trouver rapidement une solution à tout ce stress, nous prouvant qu’il est nécessaire d’aller plus vite pour résoudre ces mal-êtres. Et lorsque ces mal-êtres nous paraîtront résolus, alors nous pourrons nous reposer dans notre zone de confort et de bien-être ?

Où est la normalité dans ces cas ? Est-ce la fluidité qui peut nous paraître être un repos, de l’espace, de la tranquillité du fait de cet espace, ou le changement qui nous fait nous adapter à chaque seconde ?
Est-ce nos croyances ou celles des autres qui font que cette normalité est un bien-être ou plutôt une mise en sécurité pour nous ?

Continuer la lecture

Il est facile de dire…

Il est facile de dire

Il est facile de dire lorsque nous avons une cigarette à la main, que nous pouvons arrêter quand bon nous semble.
Il est facile de dire la panse bien remplie que nous comprenons la faim dans le monde, que nous savons ce qu’est la faim et que nous compatissons aux personnes qui sont dans cette situation.
Il est facile de dire, pour un dépendant de drogue ou d’alcool et qui vient de prendre sa dose ou son verre, qu’il est capable d’arrêter quand il veut.
Il est facile de dire, alors que nous avons le pouvoir, qu’il est très facile de penser comme ceci ou de faire cela ou que nous devrions faire comme ceci ou cela.
Il est facile de dire, les poches pleines d’argent, que l’on ne comprend pas ceux qui ont du mal à trouver du travail ou à gagner de quoi ce nourrir.
Il est facile de dire que notre façon de vivre devrait être celle de tout le monde. Ceci serait tellement plus simple.
Il est facile de dire, alors que nous payons un loyer de 1’000 ou 1’500€/mois ou parfois plus, de le définir comme normal et aisé de le payer, alors qu’il y a beaucoup de personnes qui ne gagnent même pas la moitié de 1’000€.
Il est facile de dire parce que nous avons réussi quelque chose ou que nous avons réussi une entreprise, notre but ou encore notre rêve, que tout le monde peut faire la même chose ou que c’est aisé d’en arriver là.

Savons-nous ce que peuvent ressentir ou même penser nos parents, nos amis, nos connaissances ou encore les personnes qui nous entourent ?
Nous ne savons rien. Et même si certaines personnes s’évertuent à poser des questions sur tel ou tel sujets, politiques, existentiels ou encore sur des sujets intimes et qu’ils en fassent des statistiques, nous ne savons rien. Car l’être humain est profondément humain (ça c’est une lapalissade) et peut-être aussi bien un être exécrable envers les siens qu’un ange aux aspirations altruistes.

C’est lorsque nous touchons, non pas seulement de l’esprit, de notre compréhension mais surtout dans notre corps, dans nos tripes, dans nos ressentis les plus profonds, les vibrations des situations ou encore les événements auxquels nous sommes confrontés et que nous rencontrons profondément l’autre ou les autres, que nous pouvons commencer à nous rendre compte de ce que l’autre peut entrevoir, percevoir, ressentir. Mais nous ne saurons jamais avec exactitude ce qui se passe à l’intérieur de chaque personne.

Continuer la lecture

Demeurer ou ne pas demeurer

RienÉcoutez l’article !
Demeurer

La plupart du temps je suis personne.
Lorsque je deviens quelqu’un, c’est là, si je suis conscient et si je suis présent à moi-même dans cette intimité personnelle, que mon travail de chercheur du bonheur commence.
Être sur la voie de l’éveil, sur la voie de la conscience, de ma présence en chaque instant, peu importe les mots employés, est de déceler les moments où je RÉagis. C’est lorsque je lâche ma conscience de l’instant que mon égo surgit. C’est lorsque ma conscience quitte mon esprit que j’emploie le « moi moi moi », « le moi je veux ». C’est aussi lorsque j’observe mon intérieur, mon esprit et mon corps et que j’aperçois une résistance, une altération, une non fluidité, que je dois poser mon regard et que je dois faire une pause afin de resserrer mon observation.

Quel est ce bruit intérieur qui empêche cette fluidité de demeurer en moi ?
Qu’est-ce que je ressens intérieurement face à cette situation ?

Demeurer dans l’instant c’est aussi courir après un but et ce but est souvent emprunt d’égo. Car je VEUX atteindre ce but !
Ne pas demeurer, peut être aussi une manifestation de l’égo qui ne veut pas se fixer. Car je NE VEUX PAS rester pour ne pas être attrapé ou encore ne pas être contrôlé, être étiqueté ou dans beaucoup de cas être différent c’est se démarquer et se faire remarquer pour obtenir une reconnaissance.
Être un demeuré peut être assimilé à : « Rien dans le citron, pas de mourons ». Pas de conscience, une présence soumise aux vicissitudes de la vie aux énergies de toutes sortes. Être la marionnette de n’importe quoi n’importe quand.

Mais sur le chemin de l’obligation de conscience, ou nous pourrions dire, sur un certain cheminement de la vie et de la compréhension des évènements de la vie, comment pouvons-nous nous réaliser si nous ne pouvons rien être ?

Continuer la lecture

Les chakras…

Écoutez l’article !
Les Shakras Clin d’oeil

Chakras
Vaste sujet ! Je ne vous ferai qu’un petit clin d’œil. Les chakras sont des centres d’énergie, des points de jonction, des centres spirituels ou encore des moteurs d’énergie, peu importe le nom qu’on leurs donne. Ils sont placés à différents endroits de notre corps. Autant dire pratiquement de partout dans notre corps puisque que nous en avons au minimum à toutes les jointures osseuses. Pour les plus « gros », et pour certains d’entre nous, nous les connaissons puisque beaucoup « de cartes géographiques » du corps humain nous en font les dessins et sont répertoriés au nombre de 7. Là encore il faut s’actualiser, puisque chez certains sujets, chez certaine personne, nous arrivons allègrement à 9 vivement actifs, évolution oblige !

Cela ne veut pas dire que ceux qui en ont plus sont mieux ou moins bien. C’est tout simplement que de nouveaux êtres ont besoin de plus de connexions ou de se connecter différemment pour s’incarner, ou encore entrer dans une compréhension différente de notre monde de 3D. Et oui, nous en sommes encore bien loin de nous élargir en un clin d’œil, puisque nous avons notre corps tri-dimensionnel. Mais cela est un autre sujet. Dans tous les cas, l’évolution du corps est lié à l’évolution de l’esprit et vice versa. 🙂
C’est pour cela que pour celles et ceux qui nous font l’apologie de la 4D, 5D, 6D, 7D et je pourrais continuer comme cela longtemps, que nous ne pourrons passer ces caps que lorsque notre esprit sera prêt. L’esprit libéré des pensées grossières et des émotions.

Les chakras font parti de notre système subtil et alimentent toutes les tuyauteries des corps subtils en apport d’énergie. Énergie ne veut pas dire de la nourriture au sens physique du terme, mais cette énergie est une sorte de « champs électrique, de champs magnétique » interdépendant avec le tout qui nous entoure. De l’infiniment petit, les atomes, à l’infiniment grand, le cosmos. Autant dire, pour ce tout qui nous entoure dont nous sommes dépendant autant dans le physique que dans notre évolution, que c’est du quantique ou de la subtilité car pourvu d’intention, de divinité, de mouvement, d’élan apparemment non conscient.

Continuer la lecture

L’autre dans notre intimité – Partie 3

Écoutez l’article !
L’autre dans notre Intimité 3

Marguerite

Une simple fleur peut parfois changer votre vie.

… Mais revenons à cette obligation de conscience que nous sommes fait de plusieurs matières, de plusieurs subtilités. Je vous le disais un peu plus haut dans le précédent article sur le même sujet, si nous ne sommes pas conscient ou si nous n’occupons pas, si nous n’habitons pas notre corps dans sa totalité (corps physique, corps énergétiques, corps subtils), alors d’autres énergies, d’autres pensées, d’autres subtilités et d’autres personnes vont le faire pour nous. C’est à dire vont prendre possession de notre corps, de notre esprit. Dans l’autre sens, si nous prenons de plus en plus conscience de notre corps et de notre esprit, des instants que nous vivons, de la subtilité qui nous accompagne en chacun de nos moments quotidiens, alors notre présence n’en sera que plus grande. C’est un peu comme poser le regard sur une présence continuelle, que sont notre esprit, notre corps et notre subtilité. Et le fait de poser le regard, fait que nos énergies, notre force de vie, sont présentes en même temps que notre esprit, notre corps et dans le même instant, en posant cette conscience, nous devenons donc une personne plus complète et nous n’avons pas à faire appel à beaucoup d’énergie pour communiquer et nous faire comprendre.

Posez la dimension sacré de notre corps mais aussi de notre esprit et de notre intimité est une chose aisée. C’est facile et à notre portée. Il suffit d’y « ajouter » de nous et seulement de nous, dans le don de soi (non pas dans le paraître), d’y « ajouter » de l’abandon de soi (non pas en étant sur la défensive et ne pas être non plus dans un complet relâchement) pour l’instant qui se présente, en restant centré sur soi et dans chaque moment. Mais le mot « ajouter » n’est peut être pas le terme approprié car il s’agit avant tout d’enlever les protections que nous nous sommes mises, croyant qu’elles nous protègeraient. Nous sommes pourvu d’habits imbibés d’émotions/réactions que l’on a placé en guise de protection et le fait de les enlever, nous place bien sûr dans notre fragilité qui développe une certaine fébrilité et aussi de la peur ainsi qu’un sentiment de ne pas contrôler la situation. C’est à cet engagement total, à cette présence dans l’instant, que nous pourrons nous rencontrer et nous voir tel que nous sommes. Même pour une simple rencontre, même pour un simple regard, même lorsque nous croisons quelqu’un, soyons nous même, présent à nous même dans l’instant et dans notre totalité.

Car si nous pratiquons souvent cette vision de nous même, nous allons pouvoir déceler en un instant non seulement, le jeu, le masque, la distorsion, la retenue, parfois même la fuite de la personne qui se trouve en face de nous, mais également tout notre système de communication incluant nos émotions, nos réactions, nos pensées, nos interdépendances et nos actions. Continuer la lecture

Ce blog est un espace d'intégration et de recherche. Si vous n'avez pas vécu au plus profond de votre être c'est à dire intégré les fondements de ces articles ou de ces enseignements, vous ne pouvez pas les enseigner ou les transmettre mais simplement vous pouvez les pratiquer. Pour les pratiquer, Il ne s'agit pas de lire, il ne s'agit pas de citer, mais...

Vous devez entrer dans une pratique quotidienne dans tous vos instants !!

Outre le fait qu'une bonne partie de ces articles font l'objet d'une méditation profonde, d'une reliance avec un flux certain d'énergie, il n'en est pas moins des courants de pensés, des pistes, des chemins à creuser pour le bien-être, la sérénité de votre corps, de votre esprit et de votre subtilité.

D'autre part, et selon les articles 10 de la Convention européenne des droits de l’Homme du 4 novembre 1950 et 11 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne de 2000 : « Toute personne a droit à la liberté d’expression. Ce droit comprend la liberté d’opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans qu’il puisse y avoir ingérence d’autorités publiques et sans considération de frontières… »

En conséquence, le site lesintuitions.com ne remplace en aucune façon une consultation médicale ou les conseils de tout autre professionnel de santé. Seul votre médecin généraliste ou spécialiste est habilité à l’établissement d’un diagnostic médical et à l’établissement du traitement adapté qui en découle.

Ce site utilise des cookies uniquement pour le comptage et les positions géographiques des visiteurs.
Aucune information n'est vendue ou encore cédée à de tierces personnes.


SS Dalai Lama 14 ieme
Guidances, Méditations, Relaxations
Arnaud Desjardins
jus herbe orge
Mooji
Guidances, Méditations, Relaxations
Yvan Amar
Exercices pour rester jeune
Guidances, Méditations, Relaxations
Histoires en conscience
Guidances, Méditations, Relaxations
Vos Cadeaux de bienvenue
Rosaire d'Instructions Spontanées
Guidances, Méditations, Relaxations
Translate / Traduction
Le Wésak est le moment où l'union des énergies Bouddhique et Christique viennent ensemble pour bénir la Terre et toute l'Humanité à la Pleine Lune en Taureau de chaque année, et développer, ainsi la conscience en chacun et chacune d'entre nous.

2015 :
27 Octobre
2021 :
pas de lune
2016 :
16 Octobre
2022 :
8 Novembre
2017 :
4 Novembre
2023 :
28 octobre
2018 :
24 Octobre
2024 :
15 Novembre
2019 :
12 Novembre
2025 :
05 Novembre
2020 :
31 Octobre
2026 :
26 Octobre
Tous les Articles