Equilibre interne (partie 1)
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Équilibre Interne
Femina/Mascula, bien/mal, yin/yang, haut/bas, droite/gauche, heureux/triste, droit/oblique, violent/doux, angulaire/rond, plaisir/tourment, attraction/répulsion….
Chacune de ces polarités, et il y en a bien d’autres, exprime une vibration, une énergie différente qui apporte une différence, qui modifie, la structure même d’un organisme vivant suivant que ces mêmes polarités sont déséquilibrées ou non.
Ainsi ces équilibres régissent tout le fonctionnement dans notre corps humain. Et notre esprit donne la possibilité à ces polarités d’être avantagées ou d’être désavantagées suivant nos choix, nos pensées. Ainsi lorsque nous avons des pensées positives, lorsque nous voyons, nous regardons le monde ou plutôt nous regardons notre quotidien avec plus d’espace, avec plus de discernement, de compréhension, ainsi nos polarités internes s’en trouvent grandement améliorées et équilibrées.
En revanche, lorsque nos pensées se font plus denses, lorsque nos pensées sont plus négatives ou plutôt nos pensées tentent plus vers le « moi je » ou le « moi moi moi » ou encore lorsque les pensées deviennent lourdes, pesantes, fermées, emprunt de vengeances, de calculs etc, alors le chaos des polarités intérieures s’installe et nous obtenons toutes sortes de symptômes de non fluidités, de mauvaise circulation, de mauvais échanges d’informations. Ces altérations sont accentuées non seulement par les expériences non gérées mais aussi par les émotions mal gérées, le stress, la peur etc.
Que cela soit au niveau des fluides, mais aussi de la dynamique de la matière des principaux organes internes, des péritoines, l’équilibre de l’ossature, mais aussi des échanges chimiques internes au corps humain, tout se trouve touché au plus profond de la matière jusqu’au mouvement initiateur, c’est a dire l’intention mais aussi tous les véhicules comme par exemple l’énergie vitale. Je pense également aussi au mouvement de l’équilibre intestinal. Tout cela reflète une fragilité, une faculté d’absorption, de modification, de protection et curieusement une force extraordinaire du comportement de notre corps. Lorsqu’on parle de femina ou de mascula de l’être, ce n’est absolument pas de féminité ou de masculinité dont on parle. Il ne s’agit pas d’être plus féminin ou plus masculin ou, d’être plus droitier que gaucher ou encore plus être dans sa tête que dans son corps ou mieux plus gros que maigre, mais rétablir l’équilibre de notre fonctionnement. Ces notions sont aujourd’hui des très grand malentendus dans notre compréhension car nous avons tendance à focaliser sur un fonctionnement extrême ce qui n’est pas toujours et même bien souvent, le notre.
C’est en voulant ressembler à quelque chose, un concept ou à quelqu’un, par choix forcés ou même par des influences inconscientes, que nous nous éloignons de nous même. Ces forces, qui ne sont pas opposées mais, bien complémentaires assurent l’équilibre inconditionnel interne au corps, et de ce fait externe, puisque le corps émane vers l’extérieur (npo: le corps attire à l’extérieur ce qu’il vibre à l’intérieur) ce que nous vivons à l’intérieur. Pour ajouter une information que je classifierai d’ordre technique, chaque organe, chaque fluide, chaque os, chaque partie de notre corps comporte des polarités. Ce qui assure QUI nous sommes dans l’instant et non pas ce qui assure ce que nous sommes RÉELLEMENT. Reste à connaître si ces polarités sont équilibrées suivant notre énergie originelle, l’énergie que nous portons peu après notre naissance et, qui sera l’autoroute de notre vie. Parfois nous en sommes tellement loin, nous avons perdu le chemin. La vie se charge simplement de nous ramener par l’intermédiaire de nos expériences vécues vers cette autoroute.
Ainsi et pour corroborer les milliers de personnes qui nous conseillent de pratiquer les pensées positives, la méditation, les guidances, l’altruisme, l’écoute et toutes ces formes de mise en fluidité de notre corps, je ne serais trop nous conseiller dans un premier temps, de tester, puis de pratiquer et enfin de faire entrer au plus profond de nous ces facultés immuables d’amener, on pourrait dire de la lumière ou de l’éclairage, de l’amour et de la fluidité ainsi que le lien avec notre être intérieur. Car il s’agit bien de nous et de nous seul et de notre volonté à être heureux dans notre respect et celui d’autrui, dans tous les cas, de cesser de souffrir.
Les polarités sont aujourd’hui plus qu’importantes pour notre fonctionnement global et spécifique. Car même dans l’absorption de nourriture, pour exemple, l’équilibre de nos Ph sont d’une importance capitale. Nous devons apporter une conscience à nos absorptions, ne serait-ce qu’un regard, même si ce regard n’a pas d’action dans un premier temps. Juste poser un regard et une conscience, une réflexion, une pensée.
Ce chemin grandira, l’ouverture se fera et nous prendrons confiance dans ce nouveau fonctionnement bien plus enrichissant pour notre bien-être.
Ce que je désire vous faire passer comme message, c’est qu’au delà, au delà de notre vie quotidienne, au delà de notre corps, de nos fonctionnements superficiels, il y a nous, il y a notre équilibre interne, non point celui que nous croyons être juste mais celui qui est juste, pour nous, celui qui nous reste à apprendre et à faire grandir. Il y a tant de choses pour notre équilibre et notre bien-être. Regardons par cet interstice, par cette petit lucarne qui nous fera comprendre, même si ce n’est qu’une petite partie dans un premier temps, qui nous sommes et que nous pouvons vivre avec beaucoup moins de dépendance, beaucoup moins de souffrance que nous nous évertuons à nous imposer comme fatalité.
Dans le partage et l’abondance, bon équilibre à tous
Hervé