conscience
Se Pauser – Se poser
Vaste sujet n’est-ce pas ?
Car se poser peut se faire de différentes manières. Il ne suffit pas seulement de poser ou de relaxer notre corps pour pouvoir poser notre esprit. Et il ne suffit pas de poser notre esprit pour que notre corps se relâche ou pour que notre corps se relaxe.
Poser son corps pour pouvoir ressentir le relâchement ou autrement dit, ne plus ressentir de tension dans les muscles ou les membres de notre corps. A première vue ça à l’air d’une facilité déconcertante. Mais si l’on se penche sur les couches profondes de notre anatomie, cela devient un peu plus complexe.
La superficialité on connaît. Mais lorsqu’il s’agit d’aller dans les profondeurs, ceci demande une attention toute particulière. Sur la peau, mais aussi les muscles, les tendons, les os, la position du corps et même jusqu’au système nerveux qui positionne le corps en tension intérieure. Les émotions, peut être le stress ou en tous cas des résidus de la journée, des situations non finalisées etc, place notre corps en tension même légère. C’est à dire qu’à première vue le corps est relâché, mais il demeure en tension et s’exprime en le mettant dans une position dynamique.
L’autre dans notre intimité – Partie 2
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L’autre dans notre intimité 2
…Si nous continuons dans la rencontre avec l’autre et si bien-sûr nous allons jusqu’au physique, il est bien évident que d’autres paramètres vont émergés. Je parlais de confiance dans l’article partie 1, car elle est primordial dans une relation pour que l’on soit pleinement ouvert, pleinement dans l’écoute et surtout pleinement en phase et en parfaite harmonie intérieure. Je parle bien entendu de la confiance en soi et non pas de la confiance dans l’autre. Car si tel est le cas, la confiance est placé dans l’autre, il s’agit là d’une confiance conditionnelle et donc qui sera instable puisque liée à l’autre, et les gestes, nos gestes, et nos verbes s’en ressentiront. Si nous sommes confiant en nous même de ce que nous disons, de ce que nous faisons (non pas par rapport à l’autre mais bien pour nous) et de ce que nous pensons, alors l’autre pourra ce faire confiance. C’est donc par ce que nous sommes, par qui nous sommes et non ce que nous donnons à l’autre qui le placera dans sa confiance. Dans tous les cas il ou elle aura la possibilité de se faire confiance.
Parallèle avec une histoire fort connue. Lorsque nous donnons à quelqu’un du poisson pour manger, il deviendra dépendant. C’est lorsque nous lui montrons comment pêcher qu’il pourra trouver sa liberté. Avec la confiance c’est pareil. Encore faut-il que la personne soit désireuse d’entrer dans cette dynamique de vie et c’est là, que je vous parlais d’attention envers nous même et les autres, dans nos relations qu’elles soient amicales ou amoureuses.
D’autre part, et si nous « jouons » un jeu avec l’autre, alors nous nous retrouverons dans ce que nous avons créé. C’est à dire, des règles de jeu, des mauvais joueurs, des tricheurs, des voleurs, des passes de droits, des mielleux, des séducteurs, des pleurnicheurs, des acteurs, des spectateurs, des profiteurs, des clowns etc, et mêlé avec toutes ces faussent personnes, ces faux personnages, dans la rareté des moments de notre existence, nous pourrons croiser de vrais cœurs, des personnes sincères et honnêtes avec elles-même et proche du cœur même de la vie. Mais aurons-nous la faculté de les voir, de les reconnaître dans tous ce fatras ?
Nouvelle méditation
Voici une nouvelle méditation guidée du deuxième cycle.
La respiration subtile. Respirer avec son corps, ses poumons, son ventre sont des réflexes naturels. Porter son attention sur d’autres points plus subtils sur notre corps et les faire respirer est une autre manière de percevoir notre monde, une autre manière de vivre son corps. Nous avons un corps physique avec sa superficialité que nous faisons travailler chaque jour en plus ou moins conscience.
La marche, le sport, nos 5 sens, les émotions sont des moyens que nous utilisons quotidiennement, mais nous ne faisons travailler notre subtilité que très rarement. Nos corps subtiles ont besoin de notre présence pour nous faire vivre, pour nous aider à nous nourrir mais aussi à soigner notre physique. S’ils ne sont pas entretenus, ils sont laissés à n’importe quelles autres énergies et de grandes répercutions sont à prévoir sur notre corps physique.
La plus grande source de déséquilibre de notre corps ? La non présence à soi. C’est à dire la non présence à son corps et à son esprit.
La plus grande source de pollution ? Nos pensées négatives.
Mais commençons par la présence à soi. Par la respiration, nous pouvons accéder aux parties de notre corps que nous n’occupons pas dont nous n’avons pas la conscience. Respirer avec ses parties subtiles est un gage d’espace intérieur, de tranquillité et de sérénité.
L’autre dans notre intimité – Partie 1
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L’autre dans notre intimite 1
On ne prend plus le temps. Nous sommes devenus des consommateurs de tout. Lorsque nous avons un compagnon ou une compagne nous devenons parfois même consommateur de l’autre.
Il y a quelques temps, j’ai entendu dire qu’une personne âgée avait dit : « De mon temps, nous réparions ce qui était cassé ou abimé. Aujourd’hui nous ne réparons plus, nous jetons ».
C’est valable aussi bien dans notre consommation quotidienne que dans nos relations. Lorsque quelque chose ne va pas, on le change. Et la dualité c’est que plus nous vieillissons, plus nous prenons de l’âge, plus le désir de changer les partie non matérielle, spirituelle s’éloignent, pour devenir un désir de changement matériel puis, plus aucun changement. Notre évolution ne présente plus d’intérêt ou plutôt notre évolution se cantonne à avoir, à posséder et à utiliser. Nous nous encroutons dans l’idée que de toute manière nous ne sommes pas seul puisque nous sommes accompagnés, que nous avons un confort et puis finalement, on se dit que ce confort est pas mal du tout. Nous créons donc une zone de confort dans laquelle nous nous complaisons. Autant de situations que nous procrastinons. Mais ce n’est pas comme cela, que nous résolvons notre mal être ou, que nous prenons conscience que nous ne sommes pas à notre réelle place ou encore que la personne qui partage notre quotidien ne favorise pas ou empêche notre liberté, notre évolution ou encore notre espace et notre place. Dans tous les cas, il manque quelque chose pour parfaire à notre bonheur, pour parfaire à notre quiétude intérieure.
Il faut savoir que comme pour toutes les situations mal gérées, ces situations perdurent énergétiquement, c’est à dire que l’information, l’intention subtile est toujours présente dans notre corps et va maintenir les tensions à leur maximum tant que la compréhension ne se fera pas. Compréhension au niveau de l’esprit mais aussi compréhension au niveau vibratoire, c’est à dire au niveau subtile. Après on s’étonne que des personnes fassent des cancers, des infarctus… Non non, ces faits ne sont pas toujours liés à l’alimentation. L’alimentation fait partie des facteurs aggravants parfois même révélateurs. La cause étant que la situation ou le schéma est mal géré dès le départ, et notre corps en porte les stigmates invisibles au départ, mais rendu visible par le temps. Les rides, les déformations de certaines parties du corps, sinon dans sa totalité, le caractère de la personne et aussi l’intérieur du corps avec sa fluidité, son absorption, sa digestion, sa circulation etc. Tout se modifie, tout se transforme selon la stabilité plus ou moins prononcée de notre esprit et de se fait de notre corps.
Si nous rentrons un peu plus loin dans la perception de l’autre, du conjoint, nous nous rendrons compte que nous allons découvrir énormément d’information le ou la concernant mais aussi nous concernant. Le but étant de rester vigilant par rapport à nous, dans la conscience de qui nous sommes et de ce qui est bon pour notre corps, notre esprit, notre âme et notre intention.
Mais sommes-nous toujours en phase avec cela en étant accompagnés ? Sommes-nous toujours en phase avec notre bien aimé(e) ?
Enseignement du Bien-Être pour les nuls
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Bien-Étre pour les nuls
Bon nombre de personnes utilisent le terme BIEN-ÊTRE pour nous vendre les mérites d’un produit, d’un exercice ou encore d’une cure…
Le bien-être est tout d’abord un état.
Cet état dépend de nous, car il s’agit avant tout de nous et de la capacité que nous avons à accepter le bien-être.
Le bien-être ne peut être donné et encore moins acheté, mais bien pratiqué, intégré c’est à dire comprit au quotidien.
Lorsque nous nous offrons une cure, une séance de relaxation, il est bien évident que nous nous offrons, en premier lieu, du temps pour nous. Et c’est déjà le premier pas. Je dirais même plus, c’est la base pour commencer à entrez dans le bien-être. Car le corps est aussi important que l’esprit. Un corps relaxé, bien dans sa peau, fait relâcher l’esprit. Un esprit clair, détendu et en confiance intérieure voit les besoins du corps avec une grande finesse et une grande justesse.
Si le temps que nous prenons pour nous est vraiment bien employé pour nous et uniquement pour nous, alors n’importe quelles séances relaxantes feront l’affaire. Même une séance de relax canapé (sans télé et sans bouquin juste avec soi même).
Et si nous commencions à penser autrement ?
Rester dans cette dynamique voudrait dire que le Bien-Être ne fonctionne qu’avec une situation ou encore un événement extérieur. C’est à dire que cela peut s’acheter, se vendre, se négocier ou simplement dépendre du temps que nous prenons pour nous…
Équilibre interne (Partie 2)
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Équilibre interne partie 2
Nous avons parlé très succinctement de l’équilibre interne de notre corps et nous allons maintenant déployer un peu plus dans cette 2ème partie, des focus, des pistes sur lesquelles nous devons porter une attention plus particulièrement. Je vous ai parlé d’un certain équilibre des pH notamment ceux de notre bouche, de notre salive, de notre estomac, de notre matière fécale, c’est à dire les déchets non assimilés et qui sont rejetable par notre corps ou encore de notre absorption quotidienne d’aliments plus ou moins bien équilibrée.
Ce qu’il faut comprendre c’est qu’au delà de notre absorption, notre corps réagi en fonction de ce que nous absorbons. Si nous absorbons des aliments non appropriés à notre tendance du moment, nos préférences, ou encore un aliment frelaté, le corps va se mettre en rejet et tout un changement va s’opérer. Notre corps va se mettre en tension, c’est à dire s’occuper de fabriquer de l’acide pour décomposer le plus vite possible cet aliment. Nos fluides vont être changés, nos fonctionnements digestifs, circulatoires, respiratoires vont se modifier et le système énergétique va se densifier et donc être beaucoup moins en réception que la normale.
Nos humeurs vont se changer et faire naitre de la gêne, de l’agacement, de la réaction, de l’agressivité, de la violence. Ce qu’il faut savoir, c’est que ce fonctionnement va se mettre en place insidieusement car il sera décalé. De l’absorption à la mise en mouvement du corps, quelques heures voir une à deux journées entières ce sont déjà passées. Et nous sommes tout surpris d’être dans une humeur mitigée ou énervée ou même d’avoir un désordre gastrique ou encore intestinal qui n’a, à priori, aucun rapport avec ce que l’on vient de manger.
Vous souvenez vous de ce que vous avez manger hier au soir ? Il vous faut un peu de réflexion pour la réponse. Ou si votre corps est en dérangement digestif ou un dérangement du colon, vous souvenez vous de votre repas d’hier midi ou encore d’hier matin ou mieux d’avant hier soir ?
Si notre corps est dans un terrain extrême, c’est à dire lorsque nous sommes en réaction à trop d’acide ou en asthénie, manque de vivacité qui peut être provoqué par trop d’alcalinité ou par des fonctionnements bloqués, le temps de réaction de notre corps sera très rapide. Et généralement nous sommes attirés par notre extrême dans l’alimentation.
C’est pour cela que nous devons être vigilants face à ce que nous absorbons, ce que nous ingurgitons, car chaque aliment va porter notre corps soit en acidité, en tension, en rejet, si l’aliment n’est pas acceptable, soit apporter les nutriments contenu dans cet aliment, ce qui est le but recherché.
Vigilance face à l’aliment, mais aussi aux composantes de notre alimentation, mais ce n’est pas tout. Car lorsqu’on parle d’absorption cela veut aussi dire que nous sommes confronté toute la journée à des évènements à des situations, des expériences que nous allons absorber.
Equilibre interne (partie 1)
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Équilibre Interne
Femina/Mascula, bien/mal, yin/yang, haut/bas, droite/gauche, heureux/triste, droit/oblique, violent/doux, angulaire/rond, plaisir/tourment, attraction/répulsion….
Chacune de ces polarités, et il y en a bien d’autres, exprime une vibration, une énergie différente qui apporte une différence, qui modifie, la structure même d’un organisme vivant suivant que ces mêmes polarités sont déséquilibrées ou non.
Ainsi ces équilibres régissent tout le fonctionnement dans notre corps humain. Et notre esprit donne la possibilité à ces polarités d’être avantagées ou d’être désavantagées suivant nos choix, nos pensées. Ainsi lorsque nous avons des pensées positives, lorsque nous voyons, nous regardons le monde ou plutôt nous regardons notre quotidien avec plus d’espace, avec plus de discernement, de compréhension, ainsi nos polarités internes s’en trouvent grandement améliorées et équilibrées.
En revanche, lorsque nos pensées se font plus denses, lorsque nos pensées sont plus négatives ou plutôt nos pensées tentent plus vers le « moi je » ou le « moi moi moi » ou encore lorsque les pensées deviennent lourdes, pesantes, fermées, emprunt de vengeances, de calculs etc, alors le chaos des polarités intérieures s’installe et nous obtenons toutes sortes de symptômes de non fluidités, de mauvaise circulation, de mauvais échanges d’informations. Ces altérations sont accentuées non seulement par les expériences non gérées mais aussi par les émotions mal gérées, le stress, la peur etc.
Que cela soit au niveau des fluides, mais aussi de la dynamique de la matière des principaux organes internes, des péritoines, l’équilibre de l’ossature, mais aussi des échanges chimiques internes au corps humain, tout se trouve touché au plus profond de la matière jusqu’au mouvement initiateur, c’est a dire l’intention mais aussi tous les véhicules comme par exemple l’énergie vitale. Je pense également aussi au mouvement de l’équilibre intestinal. Tout cela reflète une fragilité, une faculté d’absorption, de modification, de protection et curieusement une force extraordinaire du comportement de notre corps. Lorsqu’on parle de femina ou de mascula de l’être, ce n’est absolument pas de féminité ou de masculinité dont on parle. Il ne s’agit pas d’être plus féminin ou plus masculin ou, d’être plus droitier que gaucher ou encore plus être dans sa tête que dans son corps ou mieux plus gros que maigre, mais rétablir l’équilibre de notre fonctionnement. Ces notions sont aujourd’hui des très grand malentendus dans notre compréhension car nous avons tendance à focaliser sur un fonctionnement extrême ce qui n’est pas toujours et même bien souvent, le notre.
Où êtes-vous dans votre corps ?
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Où êtes-vous dans votre corps ?
Occupez votre corps ! Comme cette petite phrase peut être comprise de différentes manières. Il est bien entendu que le verbe occuper, dans ce cas, signifie bien d’y vivre à l’intérieur en conscience et en le ressentant.
Aussi, il est facile de porter son attention dans certaines parties du corps mais parfois, à certains endroits, comme l’intérieur par exemple il est plutôt difficile d’y rester, d’y être, de le sentir, de le ressentir, de le percevoir. Pourtant la pratique de la conscientisation du corps vous permet une existence plus complète et plus aisée lorsqu’elle est journalière.
Rien de compliquer, mais une pratique régulière peut favoriser beaucoup de fonctionnements dans votre corps et, surtout et c’est là le plus intéressant, de faire disparaître beaucoup de dysfonctionnements. Partons du principe que le corps rejette ou plutôt ne fluidifie pas les parties non conscientes, celles que vous oubliez, celle qui vous intéressent moins, celles que vous n’aimez pas particulièrement. C’est à dire et pour prendre exemple qu’en vieillissant nous nous replions sur nous même et donc nous faisons moins attention à notre peau, notre extérieur. Nous avons, pendant des années pour la plupart d’entre nous, été à l’extérieur de notre corps. Lorsque nous portons notre attention sur l’intérieur après bien des années, et bien nous nous apercevons que ce n’est pas très bien entretenu. On va dire que le concierge n’est pas souvent passé. Pour beaucoup, nous avons fumé, quelques fois et même passivement, nous avons consommé des boissons en quantité, nous avons été soumis à des forts bruits pendant longtemps, genre boite de nuit, nous avons fétarder, ne respectant pas notre cycle de sommeil, nous nous sommes mal alimenté, en nourriture, en énergie, en savoir, nous avons vécu des désillusions, des expériences amoureuses plus ou moins douloureuses etc, etc. Bref, nous n’avons pas pris soin de nous autant émotionnellement que physiquement et encore moins spirituellement. Il est vital que nous devons renouer, non pas avec un vague souvenir de nos capacités, mais surtout avec ce qui est dans l’instant. Notre corps, présentement, avec toutes ses composantes, de la tête au pied en passant par la peau et ce qu’il y a dedans 🙂
Retrouvez une des pratiques =====> la Guidance « Perceptions intérieures » Le Corps (46mn)
La croyance et les mécanismes
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Yvan Amar mars 91 Courmettes
Extrait de l’enseignement de Yvan Amar (mars 1991)
… Croire c’est quoi ?
C’est croire en tel idéal, en tel objectif à atteindre, comme celui qui nous est nécessaire, pour être heureux. Mais aussi pour être reconnu, pour être apprécié, pour être aimé, pour pouvoir s’aimer soi.
Le mécanisme qui est derrière ça, c’est le mécanisme dans la petite enfance qui nous a fait projeter ces mêmes images idéales, pour être aimé de ceux qui nous dispensaient cet amour dont on avait besoin, cette nourriture affective dont on avait besoin. Le même mécanisme va se reproduire mais à notre insu. Quand on est contrarié dans ses projets, c’est cette peur en nous au bout du processus bien avant l’émotion, de ne pas correspondre à l’image idéale, donc de ne pas être reconnu, de ne pas être aimé, de ne pas pouvoir s’aimer soi qui est affecté. D’où la réaction émotionnelle.
Et nous sommes emporté par ça parce que dans ces racines les plus profondes c’est rattaché à un sentiment de survie. (référence au livre « à 5 ans je m’ai tué » un roman de Howard Buten, paru en 1981 – le film.)
Il y a là des situations terrible où on est obligé d’adopter des comportements qui sont apriori pas les nôtres pour pouvoir être accepté, être aimé de l’autre pour finalement s’aimer soi et avoir le droit d’exister. C’est ce même mécanisme qui est touché en nous et qui constamment va engendrer de la réaction. L’homme ordinaire est emporté par ça. Et C’est Normal qu’il soit emporté par ça ! Il est complètement déterminé dans ses racines viscérales.
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Méditation et voyages ?
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Méditation Voyages.mp3
La compagnie Conscience&Voyages vous souhaite bienvenue à bord !
Le processus de la méditation est un processus qui vise à nous faire connaitre notre esprit. Par l’observation, par la vigilance, l’attention et l’espace intérieur. C’est aussi le moyen de faire « revenir » l’esprit en lui même, dans sa demeure. Certes, vous pouvez voyager avec des guidances, des sons, des images ou encore des icônes ceci est fort correct. Mais est-ce que cela favorise votre élévation spirituelle ? C’est à dire est-ce que cela vous fait connaitre mieux votre esprit et le ramène en lui même pour favoriser sa conscience et sa présence en chaque instant de votre quotidien ?
Il y a plusieurs façons et pratiques de ramener son esprit en lui même. C’est ce que les bouddhistes appellent Shamatha (prononcer chamata) ou Shiné pour les Tibétains. Shamatha c’est la pratique pour pauser l’esprit (l’esprit en paix). Il existe Shamatha avec support, avec les sons, les images, les icônes, et même les émotions, les odeurs et pour exemple concret, les guidances qui vous sont proposées sur ce site. Ce sont des pratiques qui vous mènent à pauser votre esprit pour vous accorder de l’espace, de l’attention et de la vigilance, afin que votre esprit se ramène en lui même, dans ce corps qui est le votre et pour développer sa présence et sa pleine conscience de l’instant vécu. Shamatha avec support est un passage parmi tant d’autre certes, non obligatoire mais parfois salutaire lorsqu’on sort un peu des vicissitudes de notre existence ô combien bruyantes et que l’on veut retrouver une connexion avec notre corps et le paisible de notre esprit. Lorsqu’on est habitué avec shamatha avec support et que la relation avec notre véhicule qu’est notre corps, est intime dans tous les instants, alors on peut commencer à pratiquer shamatha sans support.
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