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Discernement
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Discernement
Il est difficile aujourd’hui de faire la part des choses. Nous sommes submergés par une quantité d’informations plus ou moins justes, en regard de ce qui se passe. Je ne fais pas seulement allusion à la période mouvementée de la Covid, mais aussi à ce que nous pouvons vivre chaque jour, à chaque instant. A cela, rajoutons nos pensées qui ne sont pas maîtrisées, nos émotions mal gérées et nous sommes dans un fatras intérieur, un brouhaha incommensurable et nous nous perdons de vue. Nous allons même jusqu’à nous éloigner de notre lumière.
Nous devons faire preuve de discernement.
Il suffit qu’une seule personne dise quelque chose en rapport avec nos mal-être, nos malaises ou nos agacements, pour que notre esprit le reprenne, en rajoute, le déforme, le transforme, le redit et la violence et les colères se stockent et sont là, prêtes à bondir. Tout cela, nous fait voyager dans un espace temps qui ne nous ressemble pas, qui ne nous appartient pas, et laisse notre espace intime ouvert pour toutes entrées négatives et distorsions en tout genres.
Nous, nous sommes à quel endroit dans tous cela, lorsque ça se passe ?
Beaucoup de gens parlent et nous paraissent intelligents car ils ont un avis sur tout. Mais nous confondons l’intelligence avec la faculté de certaines personnes à retenir une quantité de choses impressionnantes et la faculté de répétition de tout et de n’importe quoi. Ceux qui ont tout appris par cœur et qui n’ont rien compris ou ressenti à ce qu’il se passe réellement dans leur quotidien, font presque l’unanimité aujourd’hui. Les personnes sont bien souvent des répétiteurs ou des repreneur d’informations qu’ils n’ont pas vérifiées, et devant des situations nouvelles, devant des situations qui demandent du discernement, de la responsabilité, de l’inventivité, ils ne savent pas de quelle manière résoudre ces situations. Ces personnes sont justes subjuguées de constater qu’il y a un grand décalage entre ce qu’il voudrait qu’il se passe et ce qu’il se passe réellement. Et pour cause…
D’ailleurs, nous confondons résolution de problème avec intelligence. Nous confondons l’intelligence avec une personne qui nous montrera une vue différente mais pas pour résoudre le problème, pour simplement en parler, simplement émettre un avis différent pour se démarquer des autres et souvent nous détourner de nous, de notre propre analyse. C’est bien de regarder de différentes manières les situations, mais ils faut gratter plus loin, tamiser les expériences, analyser, sentir, ressentir, essayer avec toutes ses facultés et sa force d’âme de résoudre le problème dans le respect de soi même et dans le respect d’autrui pour une situation pérenne.
Donc nous sommes où ? Nulle part mais surtout avec les autres et chez les autres, mais pas en nous.
Ramener l’esprit festif
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Ramener l’esprit festif Aout 2020
Comment ramener l’esprit festif ou maîtrise de l’esprit
Voici une structure de commencement d’étude, un chemin dirons-nous, pour aborder une prise de conscience et une observation de l’esprit festif, l’esprit vagabond ou l’esprit non maîtrisé.
Imaginez-vous observant une situation très simple. Vous lisez. Petit à petit votre esprit va faire des comparaisons avec d’autres situations que vous avez vécues et ainsi vous amener, vous captez dans le souvenir de ces situations où dont le souvenir est similaire. Ainsi votre esprit vagabonde votre esprit n’est plus sur la situation qui se passe, n’est plus dans le temps qui se passe et ainsi votre esprit devient festif, c’est à dire qu’il va se placer n’importe où et ne se place plus dans l’instant.
Autre moyen de vous faire approcher cette subtilité ; vous êtes concentré sur un exercice ou sur une action que vous êtes entrain de faire. Par exemple manger ou chanter ou encore regarder ou bien parler, et votre esprit est totalement concentré dans ce que vous dites, en ce que vous faites, dans votre action que vous êtes entrain de mener.
Mais à un instant donné votre cerveau, votre esprit va commencer à s’attacher émotionnellement et va commencer à s’inter-dépendre petit à petit avec d’autres émotions qui surgissent et/ou à des idées qui surviennent, avec des images, parfois même des sons ou des odeurs etc. Vous êtes donc touchés, et votre esprit devient distrait, festif, devient détourné. Vous ne contrôlez plus rien, vous êtes ailleurs.
L’esprit, le corps, la conscience
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L’esprit, le corps, la conscience février 2020
Il y a tant de choses, tant d’événements, par où commencer un chemin d’éveil de conscience.
Lorsqu’on nous parle de conscience qu’en est-il ?
Lorsqu’on nous parle de lâcher prise savons-nous de quoi il est question ?
Dans tous les cas où sommes-nous, et qui est ce nous qu’il faut chercher où plutôt qu’il faut trouver ou même définir ?
Nous savons qui nous sommes. Mais savoir ce QUE nous sommes et bien plus vaste que nous le pensons. Vaste mais pas impossible à connaître. Nous avons besoin de patience et d’observation. Le sujet c’est donc nous, disponible à toutes heures du jour et de la nuit.
Lorsqu’on parle de conscience c’est bien évidement que nous soyons présent à ce que nous faisons, à ce que nous pensons, à ce que nous disons dans chaque instant et à chaque moment de notre quotidien. La conscience c’est la présence à soi et à l’expérience de l’événement ou de la situation de l’instant.
Le lâcher prise est, premièrement, le non engagement aux événements qui ne nous concerne pas. Deuxièmement, c’est le non contrôle des événements ou des situations que nous vivons dans chaque instant. Troisièmement, c’est la non saisie en toute chose, la position de l’observateur mais pas seulement, car l’implication peut se révéler de plusieurs manières et de plusieurs formes (ex: la fuite en prenant la position de l’observateur alors que l’implication peut se faire dans l’émotion et/ou le non visible).
Le lâcher prise pour qu’il soit complété se fait dans le physique, le subtile et l’énergétique et le non visible. La parole ne suffit pas. Comme un bateau qui quitte le quai, toutes les amarres doivent être enlevées.
Le bonheur
Si l’on prend quelques instants et que nous regardons vers notre intérieur ; supprimons toute émotion et toute pensée si nous pouvons;
Respirez profondément et posez-vous les questions suivantes :
Suis-je vraiment heureux-euse ?
Est-ce que mon bonheur ne dépend pas d’événements extérieurs ?
Et si ce bonheur ou ces bonheurs extérieurs cessent, alors serais-je malheureux-euse ?
Si mon bonheur a une dépendance quelle qu’elle soit, alors est-ce vraiment le bonheur ?
Si je ne suis pas heureux-euse, c’est que le bonheur est ailleurs ou c’est que les bases de mon bonheur ne sont pas « solides ».
Car le bonheur qui nous rend heureux-euse naît de l’intérieur de notre être.
L’acceptation de notre être, de nous, l’acceptation de toutes les parties et surtout l’amour de nous même, envers nous-même. Même si nous ne comprenons pas toujours la dualité de notre être, car nous scindons beaucoup de parties comme par exemple l’âme, le corps, l’esprit, l’intention etc. et parfois même nous dispersons toutes ces parties en plusieurs morceaux, il est profondément un sentiment que nous ne pouvons pas écarter devant ce tumulte intérieur, c’est celui de l’amour, celui de se sentir aimé, celui d’aimer et celui de s’aimer.
Comment voulez-vous être heureux-euse si vous manquez d’amour ?
Dhammapada – Dharmapada
Le Dhammapada (en pāli : (Dhammapada) ; en sanskrit : Dharmapada ; traduction française : Ce sont les vers du Dharma, les vers de l’enseignement).
Le Dhammapada ou Dharmapada est l’un des textes du Tipitaka (les textes sacrés du bouddhisme), le canon bouddhique pāli.
« Il y a, bhikkhous, ces cinq bienfaits à l’écoute du Dhamma.
Quels sont ces cinq ?
On entend ce qu’on n’a pas entendu,
On clarifie ce qu’on a entendu,
On supprime les doutes,
On rectifie ses vues et l’esprit devient serein.
Voici, bhikkhous, quels sont ces cinq bienfaits de l’écoute du Dhamma. »
No |
Titres |
Nbre |
I | Versets sur les paires d’opposées |
20 |
II | Versets sur l’attention |
12 |
III | Versets sur le cœur, l’esprit |
11 |
IV | Versets sur les fleurs | 16 |
V | Versets sur les inconscients | 16 |
VI | Versets sur le sage | 14 |
VII | Versets sur l’Arahat, le noble être éveillé |
10 |
VIII | Versets sur les milliers | 16 |
IX | Versets sur le mal | 13 |
X | Versets sur la violence | 17 |
XI | Versets sur le vieillissement |
11 |
XII | Versets sur le moi |
10 |
XIII | Versets sur le monde | 12 |
XIV | Versets sur l’Éveillé | 18 |
XV | Versets sur le bonheur | 12 |
XVI | Versets sur ceux qui nous sont chers |
12 |
XVII | Versets sur la colère | 14 |
XVIII | Versets sur les impuretés | 21 |
XIX | Versets sur le juste | 17 |
XX | Versets sur la voie |
17 |
XXI | Versets divers | 16 |
XXII | Versets sur les états malheureux | 14 |
XXIII | Versets sur l’éléphant | 14 |
XXIV | Versets sur l’avidité |
26 |
XXV | Versets sur le Bhikkhou, le moine |
23 |
XXVI | Versets sur le Brāhmane, le St homme |
41 |
Bouddha – le Dhammapada – citation
Le Bouddha disait dans le Dharma, son enseignement et texte sacré du Dharmmapada
(versets sur les paires d’opposées) :
« Tous les phénomènes qui se manifestent à nous naissent dans notre cœur et dans notre esprit ; ils sont dirigés par le cœur et l’esprit, ils sont fabriqués par le cœur et l’esprit.
Si nous parlons ou agissons avec un cœur et un esprit souillés, alors la souffrance s’ensuivra aussi inévitablement que la roue du chariot suit la trace des sabots du bœuf qui le tire.
Tous les phénomènes qui se manifestent à nous naissent dans notre cœur et dans notre esprit ; ils sont dirigés par le cœur et l’esprit, ils sont fabriqués par le cœur et l’esprit.
Si nous parlons ou agissons avec un cœur et un esprit paisibles et lumineux, alors le bonheur s’ensuivra aussi inévitablement que l’ombre qui jamais ne nous quitte. »
Le Bouddha a été traduit comme ceci ce qui n’est pas totalement juste :
« Nous sommes ce que nous pensons, tout ce que nous sommes s’élève de nos pensées, avec nos pensées nous créons le monde. Parler ou agissez avec un esprit mauvais, méchant et la souffrance s’en suivra.
Nous sommes ce que nous pensons, tout ce que nous sommes s’élève de nos pensées, avec nos pensées nous créons le monde. Parler ou agissez avec un esprit pur et le bonheur s’en suivra. »
Les mots sont importants, les tournures de phrases aussi. Celui qui déforme ou tente de s’éloigner du Dharma, celui là, cours à sa perte. Car l’esprit est comme un cristal. Si vous l’occupez avec quelque chose, il devient ce quelque chose. Si vous mettez un tissu vert sur le cristal, il devient vert. Si vous mettez un tissu jaune le cristal devient jaune et ainsi de suite. Comme Sa Sainteté le 14eme Dalaï-lama l’a dit, l’esprit est le potentiel à la fois du bien et du mal, à la fois du constructif et du destructeur.
Ce n’est pas parce que nous dirigeons ou nous contrôlons un voiture que nous sommes créateur de cette voiture. Le positionnement n’est pas du tout pareil. Nous ne créons pas le monde. Le monde existe et nous conduisons notre corps et notre esprit comme nous pensons que cela est juste. Le soucis c’est que nous voulons contrôler le monde au lieu de l’écoute, de le regarder pensant que nous pourrons le contrôler. Je ne parle pas que du monde des humains, mais nous n’écoutons pas la terre, les animaux, les végétaux, les minéraux. Nous ne focalisons que sur les humains en associant la terre et toutes ses composantes, tout son fonctionnement à cela.
Sommes-nous dans le juste ?
Si vous pensez cela alors cela reviendrait à dire que lorsque une pièce de ma voiture est défectueuse la voiture va mal !
Non, pas du tout. Ce n’est pas l’ensemble de la voiture mais bien la partie qui ne fonctionne pas.
Si nous associons la terre aux humains, alors tout ce qui va dépendre des humains en terme de problème sera associé à la terre. Nous faisons beaucoup d’amalgames de ce genre. Nous ne prenons pas le temps de regarder, d’écouter, de percevoir et de ressentir. Ce n’est pas parce qu’il y a une chose qui ne va pas que la situation demande à ne pas être, à ne pas exister. Peut être tout simplement de revoir notre vision des choses et de changer la façon que nous avons de percevoir, de regarder les situations, ces choses et, de reformuler notre façon de dire les mots, les phrases.
A cet instant, à cause de l’ignorance et des émotions négatives, nous agissons d’une façon négative et c’est la souffrance mentale qui s’en suit avec une profondeur terrible.
Mais si nous entraînons notre esprit, tout comme un musicien le fait avec son instrument, cela va entraîner la libération ou plutôt faire travailler les parties positives de notre cerveau et ainsi faire émerger notre nature véritable.
Si nous entraînons notre esprit positivement, les parties du cerveau qui forment les émotions positives comme le bonheur, l’enthousiasme, le contrôle de soi, etc, seront toujours stimulées et pas seulement lorsque nous pratiquons mais aussi hors des moments de pratique.
Petit résumé des enseignements du Bouddha :
« Ne faites aucun tort à vous ou à autrui.
Trouver un trésor de vertu, une passion.
Maîtriser ou dompter votre esprit. »
Ainsi votre nature véritable aura plus de chance d’émerger. Ainsi le bonheur aura plus de chance de naître en vous.
Bien à vous
Hervé
Lesintuitions.com
lesenergies.fr
Se mettre en vacance
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Nature
les intuitions. Notre esprit, habitué à penser, à rechercher la meilleure solution à un problème ; et notre mental en crée de nombreux à chaque seconde ; notre esprit, habitué à créer continuellement, à faire quelque chose, parfois à faire n’importe quoi, il est très difficile d’arrêter ce flux de pensées et de se mettre en vacance.
Nous ne pouvons pas considérer ce flux de pensées comme mauvais. Parce qu’il est un des maillons qui soutient la totalité de notre être dans notre fonctionnement d’aujourd’hui. Et avant de considérer notre esprit comme mauvais, il est temps de poser le regard sur une vaste étendue qu’est notre être, avec ses vicissitudes de la vie, nos aspirations, nos tendances passées, présentes et futures etc.
Ce flux de pensées, parfois imposant, parfois insoutenable, débordant même, mais aussi faisant partie des piliers de notre être tout entier, nous donnant une stabilité, une consistance, une existence parfois, nous confère la difficulté de se mettre en vacance.
Ainsi cet état, que nous pourrions considérer comme de l’arrêt, pour quelqu’un qui est toujours en mouvement, n’est pas chose aisée et le monde occidental dans lequel nous vivons ne nous aide pas non plus à nous rapprocher de notre mise en vacance.
Si je fais un peu d’histoire, sans remonter bien loin, nous avons toujours été initiés à bouger, à faire quelque chose mais surtout à rester dans les extrêmes. Toujours en action. Et il est parfois difficile de se rendre compte que grâce à cette mise en action ou à cause de cette mise en action, nous sommes toujours en mouvement continuel. Et se mettre en vacance se révèle être pratiquement hors de portée. Alors que pour certaines personnes ce serait même indispensable.
Nature
Nature
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Nature
Bon nombre de personnes disent que nous venons des grecs, des latins, des romains, des francs (germaniques), des arabes, que nous sommes d’origine de notre pays, américains, français, chinois ou australiens parce que nous avons été influencé par d’autres ethnies ou parce que nous sommes nés dans ce pays etc…
Mais est-ce là notre véritable nature ?
Bien sûr nous avons eu des influences et nous en avons encore et bien plus que nous le croyons. Regardons simplement les alliances entre pays, notre manière de nous alimenter ou encore l’environnement social qui n’est certes pas pareil, par exemple d’un pays du sud-est de l’Asie et d’un pays nord-Européen. Mais ces influences ne sont que de la communication, la manière de nous exprimer verbalement et parfois même pour exprimer quelques pas de danse différents, nous pourrions dire.
Pour des anglophones, dirions nous que tous les anglophones sont anglais ?
Ou dirions nous que tous les francophones sont français ?
Peut être même, dirions nous que tous les humains sont pareils, avec une égalité ou une liberté parfaitement égale ?
Si nous regardons bien la nature de la race humaine; car si l’on parle de races, il n’y a pas une race jaune, rouge, blanche ou noire, asiatique, caucasienne, africaine etc, mais une seule et même race celle de la race humaine ;
notre nature n’est pas seulement que de la communication. Les mots, la formulation, parfois même la notion de réflexion sont toutes empruntes d’influences. Mais là-dessous, devant toute cette globalité que forge notre être tout entier, la communication n’est en fait qu’une partie de cette expression. 90% du langage du corps ne fait pas parti du verbe. Doit on considérer que ces 90% sont d’influences grecques, latines, francs ou plutôt germaniques ou encore arabes ou autres ?
Si nous définissons le NOUS par les 90% qui nous habite, alors nous tentons à être fortement ces 90%. Et non pas les 10% restant si tentait même que l’on puisse en calculer le pourcentage.
La réalité n’est pas une coque que l’on nous attribut. Si nous nous laissons faire et bien peut être que nous deviendrons cette coque, cette limitation, cette programmation, mais nous verrons apparaître des désordres physiques, psychiques, car la nature véritable de l’être ne peut être longtemps retenue.
Certes nous sommes des bêtes ou encore des êtres voués à tuer ou encore violenter son prochain.
Ça c’est ce que nous croyons et c’est ce que l’on essaye de nous faire croire. Croire que c’est la seule porte de sortie ou encore résultante à appliquer dans les situations, n’est qu’une idéologie fantoche pour que l’on nous empêche de nous relier avec quelque chose de plus divin. Nous maintenir dans des vibrations basses ne s’agit là que d’effets liés a une cause, celle de laisser son esprit être emporté par des émotions mal gérées. Émotions mal gérées qui nous rendent aveugles face aux situations que nous vivons.
Notre nature véritable est composé de plusieurs choses et pas seulement ce qu’on nous évertue à mettre en avant. On tente de nous faire oublier 90% de ce que nous sommes au travers de séductions multiples et variées et essentiellement au travers du plaisir matériel quotidien. TV, Téléphone, derniers vêtements à la mode, argent, pornographie, même les couleurs des produits que l’on nous sert, l’éducation, l’enseignement, tout est fait pour nous vendre les mérites et plus particulièrement nous détourner de nous, de notre nature véritable, de nos possibilités. Même les mots sont détournés dans leur sens premiers pour que nous oublions notre sens critique, notre vision claire des choses et des situations.
Les sutras
Les sutras
En sanskrit IAST : sūtra ; devanagari सूत्र ; pali : sutta ; signifiant « fil ; aphorisme ; traité de rituel ou canonique »
Le terme s’applique à des écrits spéculatifs ou philosophiques rédigés sous forme d’aphorismes. Ici, l’appellation est métaphorique (ce sont les « fils de la pensée », la « trame des idées »). L’iconographie religieuse bouddhiste a fait du sūtra un symbole de la sagesse car ils revêtent la source même de l’enseignement du Bouddha.
Ce travail qui nous permet d’accéder aux textes en français est un ensemble de sutras parmi les plus importants afin de pouvoir les étudier sans recourir à plusieurs livres.
Je vous souhaite à toutes et tous d’agréables fêtes de fin d’année.
Hervé
Lesintuitions.com
Lesenergies.fr
Dimensions
Les dimensions de l’être sont expansibles et visibles en Amour.
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Dimensions
Lorsque l’amour est présent, lorsque le sentiment amoureux est là, toutes nos dimensions sont présentent parce que tout lâche et s’ouvre à la joie, à la liberté et à la fluidité intérieure. Lorsque je parle d’être amoureux, c’est lorsque deux êtres vouaient à être ensemble se rejoignent. Ce sont toutes les structures subtiles, énergétiques mais aussi celle du physique, les dimensions divines, les connections extra sensorielles, qui se décuplent et se connectent.
Ainsi une expansion formidable se crée et l’amour grandit, grandit et encore grandit. La joie s’immisce dans les cellules et c’est tout le corps qui se voit en transformation. Je ne parle pas de sourire bête, je ne parle pas de désir comme on dit au sens animal du terme, je ne parle pas de se laisser décentrer par le processus, mais je parle du sentiment profond d’être à sa place, sans altération du comportement, je parle du sentiment profond d’être cueilli par ces énergies, cueilli par ce flux continuel de joie intense, d’envie de vivre, de fébrilité de joie intérieure, de tremblements intérieurs qui nous fait sauter de joie, je vous parle d’être au rendez-vous de l’instant.