intuitions

Les choix

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LES CHOIX
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A première vu les choix que nous faisons viennent bien de notre réflexion, de notre propre déduction, de nos expériences donc de notre mental. Ils peuvent s’appuyer sur nos contentements, lorsque par exemple quelque chose nous fait plaisir, alors nous allons dire oui. Bien entendu sur nos déceptions, lorsque quelque chose ne nous fait pas plaisir alors nous refusons. Tout cela est du tangible. Bien sûr, il y a des nuances entre ces deux extrêmes et nous avons aussi des nuances dans nos choix, qui sont plus ou moins mitigés… ex: « Non mais il manque ça…. », « Oui mais là c’est pas pareil… » etc.

Pour ces deux extrêmes, oui et non, à première vue on trouve ces choix normaux car nous croyons que c’est le oui et le non qui est bien à nous. Et c’est normal.
Bien sûr, nous pouvons aussi être imperméable aux évènements, aux situations de la vie et ainsi croire que nous prenons seul(e) nos décisions, qui seront bien réfléchies, ne seront pas empruntes de manipulation, que nous avons pesé le pour et le contre etc.

Je ne vous cache pas que depuis notre naissance nous ne cessons d’être influencés par le monde dans lequel nous vivons, avec plus ou moins de modifications importantes. Un seul son, une seule phrase, un seul regard peut nous modeler dans des compréhensions, dans des paroles, dans des croyances, dans des sons qui sortent de notre bouche, dans des voies ou des chemins de notre vie, dans des attitudes et des réflexes que nous ne soupçonnons pas. Parce que c’est à la mode ou encore cela me permet d’être reconnu ou me permet de me sociabiliser ou encore d’appartenir avec le sentiment de faire partie de quelque chose de différent.

Je fume, j’emploie des mots différents parce que les autres le font. Ma prononciation se modifie parce que appuyer sur les R ou encore employer une autre langue à la place de certains mots va me permettre de me distinguer des autres ou m’intégrer dans un groupe, me faire connaître, me faire reconnaître etc. etc. Ce sont les choix que nous faisons.

Et même une rencontre ou ne serait-ce qu’être en présence d’une personne, nous allons être modifié. Situation inconsciente pour les personnes qui ne se soucis pas du monde de l’invisible et des interactions entre les choses, les personnes vivantes, les évènements, mais ce sera notre capacité énergétique qui va définir notre retour à notre énergie originelle.

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Programmation et liberté

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Programmation Liberté
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Bonjour à toutes et tous,

J’avais déjà effleuré le sujet dans quelques articles, mais je voulais y revenir pour développer un point vraiment important. Comme la programmation touche énormément de facettes de l’esprit, elle modifie également nos croyances et donc notre vision du monde extérieur et bien entendu notre monde intérieur. Nous sommes enchainés dans nos croyances pensant que celles ci sont la vérité, le chemin que nous devons suivre. En effet, notre environnent, et cela depuis notre petite enfance, façonne nos choix, nos préférences, nos croyances ; pratiquement notre personnalité tout entière. C’est pour cela que nous devons poser un regard profond sur ce qui nous compose pour le bien de notre liberté.

Les stimuli de l’environnement façonnent également nos pensées, nos émotions, nos élans, nos choix bien sûr, mais cela va jusqu’à notre intimité légère et profonde, notre vibration. Notre manière d’aimer, de se faire aimer et d’aimer les autres. Le travail de reprogrammation de ces attachements demande une présence à soi, une vigilance et surtout d’être centré sur nous même afin de reconnaitre, de sentir ce qui nous appartient et ce qui ne nous appartient pas.

Prenons par exemple les mots. Nous sommes programmés par les mots. Les mots ont d’abord une signification et il est préférable de s’en informer avant de les employer à la place d’autres. Car ils sont porteurs de vibrations bien établies. Avant de rattacher une émotion à un mot qui n’a pas la bonne signification, car les mots sont aussi rattachés à des émotions, des sentiments, des réactions et de ce fait à des actions, des choix que nous faisons, nous devons sentir la fluidité de chaque mot que nous prononçons pour savoir s’ils sont en accord avec la situation et être bien certain de leur signification. Les mots ont une percée significative dans notre être et lorsqu’ils sont employés dans un mauvais sens, ils provoquent de faussent croyances. Ceux-ci provoquent également des altérations, des distorsions dans notre communication, dans notre être, dans notre vibration.

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Attendre, patienter sans s’impliquer – Laisser passer

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Laisser passer
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Attente

Pour ceux qui baignent dans les intuitions en ressentant pas mal de choses généralement autour de soi, il arrive que nous pouvons connaître l’issue ou le fort potentiel d’une situation avant même qu’elle ne se passe. Donc fort potentiel, d’une situation qui n’est pas encore arrivée. Ce n’est juste qu’une force en mouvement, qui de par sa mise en œuvre devient un potentiel de réalisation. Pour nous et à la première lecture cette issue devient immuable sans équivoque. Cela devient une évidence que cette situation doit être ou peut-être atteinte.

Pour les personnes qui ne sont pas habituées aux nombreuses variations des énergies en mouvements. ces évidences ne sont pas une obligation d’être vécu. Nous savons que nous devons patienter pour que la finalité, le taux vibratoire, l’énergie, les énergies, doivent arriver à leur terme pour que ce ressentis soit réalisée. Mais il peut y avoir des modifications. Nous sommes tellement pris par cette création et cette mise en mouvement car parfois tellement forte et présente, que nous y croyons. Nous nous faisons happer par ce vortex. De ce fait nous pensons que c’est une prochaine vague de vie, que nous sommes concernés et nous mettons tout en œuvre pour la faire jaillir ou dans tous les cas pour y participer ou même pour la vivre.

Par exemple lorsque nous rencontrons une personne avec laquelle nous avons beaucoup d’affinité.

Dans l’observation, tout le chemin que nous menons avec patience, si nous attendons, ce chemin, cette voie, nous fait travailler dans le non attachement, la non dépendance. Nous fait travailler aussi parce que nous sommes dans une démarche de résultat. Le but à atteindre. Ça y est on vient de nous montrer là où l’on doit aller. Mais parfois ceci est une tromperie. Cette observation est un temps qui nous permets de descendre l’importance qui n’en a pas besoin d’autant.

Quoi qu’il se passe, quoi que cela implique, quoi que cela demande, nous devons rester ancrés au présent et non pas dans cette démarche de résultat. Sans quoi notre esprit sera submergé par cette mise en mouvement. souvenez-vous, nous attirons ce que nous vibrons.

Encore une fois, ce n’est pas parce que nous ressentons quelque chose que nous devons mettre tout en œuvre pour que cela se réalise. Que nous devons systématiquement aller là où ça bouge.  Nous sommes multiples certes, nous sommes reliés avec plusieurs centres et nous travaillons avec et dans plusieurs dimensions. Une chose importante, malgré cela, nous devons rester ancrés, nous devons rester dans cette dimension car c’est depuis là que nous devons expérimenter, c’est là qu’est notre âme, c’est là qu’est notre choix.

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Rien faire ou pas

meditation

Être en action, toujours en action.

Et si vous faisiez quelque chose ?

Non mais c’est vrai, vous ne faites rien de vos journées !

Vous ne méditez pas, vous ne parlez pas, vous ne travaillez pas, vous ne courez pas et on vous demande encore et encore de faire quelque chose.

Le temps est de passer à l’action !

C’est vrai la terre attend de vous, que vous vous bougiez ! Mais dans quel sens ?

Et c’est marrant parce qu’au plus on vous dit de vous bougez, au plus vous n’avez plus envie de le faire ?

Au début : »Oui, c’est super on va faire un truc tous ensemble…, » et puis petit à petit les joies s’effilochent et le calme revient, parfois la procrastination, plus envie, on se retrouve avec soi même et finalement, non mais faut être réaliste on ….. S’ennuie.

Alors on fait un truc puis deux puis trois pour s’occuper. On est toujours entrain de faire un truc. Il faut bien s’occuper sinon on meurt ; le schéma éternel si je ne fais rien alors je meurs, je n’existe pas ?

Et si « rien faire » s’était ça ma vrai nature.

Parce que 7 milliard d’individus qui bougent, qui font quelque chose chaque seconde, vous avez vu le bordel que ça fait ?

Même si tous les humains sont bougés par quelques excités du pouvoir, n’empêche que nous bougeons. Même en faisant la grève on bouge (événement de société en France). Normalement la grève c’est pour rien faire !

Ben non. Faut encore faire un truc.

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Bouddha – le Dhammapada – citation

Le Bouddha disait dans le Dharma, son enseignement et texte sacré du Dharmmapada
(versets sur les paires d’opposées) :

 

« Tous les phénomènes qui se manifestent à nous naissent dans notre cœur et dans notre esprit ; ils sont dirigés par le cœur et l’esprit, ils sont fabriqués par le cœur et l’esprit.
Si nous parlons ou agissons avec un cœur et un esprit souillés, alors la souffrance s’ensuivra aussi inévitablement que la roue du chariot suit la trace des sabots du bœuf qui le tire.

Tous les phénomènes qui se manifestent à nous naissent dans notre cœur et dans notre esprit ; ils sont dirigés par le cœur et l’esprit, ils sont fabriqués par le cœur et l’esprit.
Si nous parlons ou agissons avec un cœur et un esprit paisibles et lumineux, alors le bonheur s’ensuivra aussi inévitablement que l’ombre qui jamais ne nous quitte. »

 

Le Bouddha a été traduit comme ceci ce qui n’est pas totalement juste :

« Nous sommes ce que nous pensons, tout ce que nous sommes s’élève de nos pensées, avec nos pensées nous créons le monde. Parler ou agissez avec un esprit mauvais, méchant et la souffrance s’en suivra.

Nous sommes ce que nous pensons, tout ce que nous sommes s’élève de nos pensées, avec nos pensées nous créons le monde. Parler ou agissez avec un esprit pur et le bonheur s’en suivra. »

Les mots sont importants, les tournures de phrases aussi. Celui qui déforme ou tente de s’éloigner du Dharma, celui là, cours à sa perte. Car l’esprit est comme un cristal. Si vous l’occupez avec quelque chose, il devient ce quelque chose. Si vous mettez un tissu vert sur le cristal, il devient vert. Si vous mettez un tissu jaune le cristal devient jaune et ainsi de suite. Comme Sa Sainteté le 14eme Dalaï-lama l’a dit, l’esprit est le potentiel à la fois du bien et du mal, à la fois du constructif et du destructeur.

Ce n’est pas parce que nous dirigeons ou nous contrôlons un voiture que nous sommes créateur de cette voiture. Le positionnement n’est pas du tout pareil. Nous ne créons pas le monde. Le monde existe et nous conduisons notre corps et notre esprit comme nous pensons que cela est juste. Le soucis c’est que nous voulons contrôler le monde au lieu de l’écoute, de le regarder pensant que nous pourrons le contrôler. Je ne parle pas que du monde des humains, mais nous n’écoutons pas la terre, les animaux, les végétaux, les minéraux. Nous ne focalisons que sur les humains en associant la terre et toutes ses composantes, tout son fonctionnement à cela.

Sommes-nous dans le juste ?

Si vous pensez cela alors cela reviendrait à dire que lorsque une pièce de ma voiture est défectueuse la voiture va mal !
Non, pas du tout. Ce n’est pas l’ensemble de la voiture mais bien la partie qui ne fonctionne pas.

Si nous associons la terre aux humains, alors tout ce qui va dépendre des humains en terme de problème sera associé à la terre. Nous faisons beaucoup d’amalgames de ce genre. Nous ne prenons pas le temps de regarder, d’écouter, de percevoir et de ressentir. Ce n’est pas parce qu’il y a une chose qui ne va pas que la situation demande à ne pas être, à ne pas exister. Peut être tout simplement de revoir notre vision des choses et de changer la façon que nous avons de percevoir, de regarder les situations, ces choses et, de reformuler notre façon de dire les mots, les phrases.

A cet instant, à cause de l’ignorance et des émotions négatives, nous agissons d’une façon négative et c’est la souffrance mentale qui s’en suit avec une profondeur terrible.

Mais si nous entraînons notre esprit, tout comme un musicien le fait avec son instrument, cela va entraîner la libération ou plutôt faire travailler les parties positives de notre cerveau et ainsi faire émerger notre nature véritable.

Si nous entraînons notre esprit positivement, les parties du cerveau qui forment les émotions positives comme le bonheur, l’enthousiasme, le contrôle de soi, etc, seront toujours stimulées et pas seulement lorsque nous pratiquons mais aussi hors des moments de pratique.

Petit résumé des enseignements du Bouddha :

« Ne faites aucun tort à vous ou à autrui.
Trouver un trésor de vertu, une passion.
Maîtriser ou dompter votre esprit. »

Ainsi votre nature véritable aura plus de chance d’émerger. Ainsi le bonheur aura plus de chance de naître en vous.

Bien à vous

Hervé
Lesintuitions.com
lesenergies.fr

Nature

Nature

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Nature
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Bon nombre de personnes disent que nous venons des grecs, des latins, des romains, des francs (germaniques), des arabes, que nous sommes d’origine de notre pays, américains, français, chinois ou australiens parce que nous avons été influencé par d’autres ethnies ou parce que nous sommes nés dans ce pays etc…

Mais est-ce là notre véritable nature ?

Bien sûr nous avons eu des influences et nous en avons encore et bien plus que nous le croyons. Regardons simplement les alliances entre pays, notre manière de nous alimenter ou encore l’environnement social qui n’est certes pas pareil, par exemple d’un pays du sud-est de l’Asie et d’un pays nord-Européen. Mais ces influences ne sont que de la communication, la manière de nous exprimer verbalement et parfois même pour exprimer quelques pas de danse différents, nous pourrions dire.

Pour des anglophones, dirions nous que tous les anglophones sont anglais ?
Ou dirions nous que tous les francophones sont français ?
Peut être même, dirions nous que tous les humains sont pareils, avec une égalité ou une liberté parfaitement égale ?

Si nous regardons bien la nature de la race humaine; car si l’on parle de races, il n’y a pas une race jaune, rouge, blanche ou noire, asiatique, caucasienne, africaine etc, mais une seule et même race celle de la race humaine ;

notre nature n’est pas seulement que de la communication. Les mots, la formulation, parfois même la notion de réflexion sont toutes empruntes d’influences. Mais là-dessous, devant toute cette globalité que forge notre être tout entier, la communication n’est en fait qu’une partie de cette expression. 90% du langage du corps ne fait pas parti du verbe. Doit on considérer que ces 90% sont d’influences grecques, latines, francs ou plutôt germaniques ou encore arabes ou autres ?
Si nous définissons le NOUS par les 90% qui nous habite, alors nous tentons à être fortement ces 90%. Et non pas les 10% restant si tentait même que l’on puisse en calculer le pourcentage.

La réalité n’est pas une coque que l’on nous attribut. Si nous nous laissons faire et bien peut être que nous deviendrons cette coque, cette limitation, cette programmation, mais nous verrons apparaître des désordres physiques, psychiques, car la nature véritable de l’être ne peut être longtemps retenue.

Certes nous sommes des bêtes ou encore des êtres voués à tuer ou encore violenter son prochain.

Ça c’est ce que nous croyons et c’est ce que l’on essaye de nous faire croire. Croire que c’est la seule porte de sortie ou encore résultante à appliquer dans les situations, n’est qu’une idéologie fantoche pour que l’on nous empêche de nous relier avec quelque chose de plus divin. Nous maintenir dans des vibrations basses ne s’agit là que d’effets liés a une cause, celle de laisser son esprit être emporté par des émotions mal gérées. Émotions mal gérées qui nous rendent aveugles face aux situations que nous vivons.

Notre nature véritable est composé de plusieurs choses et pas seulement ce qu’on nous évertue à mettre en avant. On tente de nous faire oublier 90% de ce que nous sommes au travers de séductions multiples et variées et essentiellement au travers du plaisir matériel quotidien. TV, Téléphone, derniers vêtements à la mode, argent, pornographie, même les couleurs des produits que l’on nous sert, l’éducation, l’enseignement, tout est fait pour nous vendre les mérites et plus particulièrement nous détourner de nous, de notre nature véritable, de nos possibilités. Même les mots sont détournés dans leur sens premiers pour que nous oublions notre sens critique, notre vision claire des choses et des situations.

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On prend pour soi

On prend pour soi car nous avons moins d’espace intérieur.

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On prend pour soi
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… De même que lorsque nous observons nos pensées dans notre esprit, et même sans les observer, simplement en les vivant inconsciemment, nous les considérons comme les nôtres et nos émotions montent, prennent de la place, nous rendant dépendant de nos ballottements intérieurs. Autrement dit, nous ne gérons plus nos émotions et nos pensées, nous les laissons aller comme un bateau à la dérive. Il en va de même lorsque nous communiquons. Par exemple lorsqu’on lit un texte, nous prenons souvent pour soi ce qui est écrit. Que cela soit dans le domaine privé ou professionnel, lorsque nous lisons une présentation de quelqu’un, un commentaire, une simple demande, sans parler des échanges quotidiens que nous avons avec notre famille, nos ami(e)s et d’autres personnes, nous nous posons que très rarement la question : Parle-t-il de lui ou parle t-il de moi. Parle-t-elle d’elle, parle t-elle de moi ? Qu’elle est la situation ? Dans quel contexte est la situation ? Nous ne faisons plus ce recul. Nous ne prenons plus le temps de finir les situations et nous les portons encore très actives en nous même.

Nous prenons pour nous ce qui est écrit, ce que nous voyons et nous réagissons immédiatement à ce qui ne nous plait pas. Nous regardons bien souvent le côté négatif, c’est à dire le côté du manque, se plaçant à la place d’un correcteur, d’un trouveur de faute, d’un redresseur de tort, sans se placer dans le contexte de la situation et sans observer la situation dans tous ces détails.

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Les petites morts

Les petites morts

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Les petites morts
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Les petites morts sont des schémas qui nous poussent à nous faire croire que nous allons mourir. Parfois consciemment et parfois inconsciemment. Parfois cela relève d’une absence de reconnaissance, d’un manque, que l’on attribue à une absence de vie. Parfois cela vient d’un jugement personnel face à une situation et nous plongeons dans un vide que nous traduisons par une absence de vie. Mais cette reconnaissance, ce manque, ce vide sont fondés par quoi, sur quoi ? le système parental ? le système éducatif ? Le jugement du monde emprunt d’influence familiale et que nous persistons à continuer d’appliquer au fil de nos expériences ?

Je dirai peu importe car un système de reconnaissance basé sur l’extérieur de nous est voué à l’échec et à des blessures si profondes, qu’il pourra être difficile de les voir et/ou de s’en libérer. Difficile ne veut pas dire impossible, mais veut dire qu’une libération pourra être longue. Difficile, jusqu’à ce que nous posions un regard, une conscience sur ce que nous croyions mentalement absurde au premier abord et un peu plus tard, qui prendra le chemin de la libération de ces schémas installés, le temps que la compréhension s’installe. Ces schémas ne nous entraînent pas toujours dans l’extrême, c’est à dire vers ce sentiment de mort ou de vide profond, mais peuvent nous positionner dans une espèce de dépression, de pensées mélancoliques, d’une impression de tourner en rond, d’avoir un petit vélo dans la tête, d’être en prison etc….

Nous apprenons à juger par rapport à ce que cela nous rapporte et nous considérons que si cela ne nous rapporte rien alors il n’y a pas de vie. Nous n’apprenons pas à juger par rapport au besoin de la situation présente. C’est à dire si ce que nous faisons, si ce que nous générons autour de nous est juste et si cela génère du bien être pour nous et autour de nous. Nous n’apprenons pas non plus à regarder et surtout à trouver par nous même, les solutions de notre vie quotidienne. Nous forgeons notre jugement emprunt d’influences mentales, de déductions et tout cela dénué de perception, parfois même dénué d’observation. Tout au plus nous nous essayons dans cette observation accompagnée d’une recherche de solution personnelle au travers du système éducatif, mais pour de courtes périodes et comme outils ponctuels. Trouver ne veut pas dire appliquer un concept, une manière, mais bien de créer notre propre manière, notre propre concept en fonction de ce que l’on perçoit, de ce que l’on pressent, en fonction de nos intuitions et de nos observations et dans le respect des acteurs de la situation, dans le respect de la situation elle même et de sa demande.

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Un être en tension est un être en modification

Un être en tension est un être en modification

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Être en tension c’est être en modification
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Lorsqu’on rencontre une situation difficile, un mal-être, et que nous nous en détournons en refusant cette situation ou ce mal-être, tout ceci crée une distorsion dans notre façon d’être, dans notre présence, dans notre vibration. Regarder ailleurs, regarder au delà de cette situation c’est à dire dans le ressenti de cette situation, dans l’élan de cette situation et, entrer dans ce que nous devons faire, dans ce qui est juste pour la situation actuelle, non pour nous, non pour la personne, l’autre ou les autres acteurs de la situation, mais pour la situation présente. Nous devenons alors disciple de la situation.

Rester dans l’état de mal être, ou peut être adopter un mode de combat et essayer de diriger la situation comme nous croyons que c’est juste par la déduction et être persuadé que nous sommes dans le juste, n’est que du bavardage, de l’auto-négociation… Rester dans cet état, n’est que l’entretien d’un mal aise face à la situation présente que nous définissons comme ne pas nous correspondre. C’est l’attachement à la situation. C’est la création d’une distorsion. Si nous persistons dans cette distorsion, alors nos énergies sont pompées ou autrement dit nous nous fatiguons, nos énergies se mettent en fuite. Si nous persistons dans cette distorsion, alors nos intuitions sont faussées, notre regard est flou, nos pensées sont égotiques, notre mental est bloqué dans ce processus, ce cercle vicieux, cette rue sans sortie.

Pendant que certaines personnes s’évertuent à faire comprendre à d’autres, de manière égotique par déduction ou par réaction, le pourquoi de ce qu’il ne faut pas faire, et dans notre quotidien que cela soit face aux autres ou encore à nous même, nous devons agir pour le bien de la situation non pas pour ce que nous croyons être bien pour les autres. C’est valable dans tous les domaines de la vie. Pour cela nous devons apprendre de nous et nous devons apprendre de la vie et les éléments qui la composent. La terre, le ciel, l’humain et toutes ses composantes, les animaux, les plantes et les cristaux et les fluides en font parties. Mais en priorité nous devons apprendre de nous, de notre intimité profonde.

C’est à dire porter ou plutôt poser le regard sur nos bruissements intérieurs, sur nos vaguelettes émotionnelles, sur les tressaillements de nos pensées afin de déterminer si notre regard est bien neutre face à ce que la vie nous présente, là maintenant. Et j’ai bien dit poser le regard. Non pas, nous laisser bercer ou encore nous laisser prendre ou bien prendre pour nous, tous les aléas ou toutes les vicissitudes de notre intérieur non maitrisé. Poser le regard dans notre être profond en regardant si les tumultes de notre esprit et de nos émotions que sont nos peurs, nos craintes, nos angoisses, nos désillusions, nos aspirations, notre amour conditionnel, nos rêves, nos phantasmes, nos désirs, nos certitudes, nos incertitudes…  sont présentes ainsi que toutes les composantes de NOUS. ce NOUS que nous projetons !

Nous, dans ce que nous croyons être nous et dans ce que nous croyons que compose ce nous. Rajoutant bien souvent des émotions, des pensées, de multiples adjectifs, adverbes, pour nous sentir multiple, large et bien portant mentalement jusqu’au bourrage, jusqu’au « dégueulis » même de notre esprit; car le plus, fait mieux que la simplicité n’est-ce pas ?  Être rempli, être beaucoup, être multiple, être croyances, être gonflé, être plus fort que…, savoir faire des quantités de choses, voilà ce qui nous séduit. Être plus, être mieux que… l’autre ? Continuer la lecture

Ce blog est un espace d'intégration et de recherche. Si vous n'avez pas vécu au plus profond de votre être c'est à dire intégré les fondements de ces articles ou de ces enseignements, vous ne pouvez pas les enseigner ou les transmettre mais simplement vous pouvez les pratiquer. Pour les pratiquer, Il ne s'agit pas de lire, il ne s'agit pas de citer, mais...

Vous devez entrer dans une pratique quotidienne dans tous vos instants !!

Outre le fait qu'une bonne partie de ces articles font l'objet d'une méditation profonde, d'une reliance avec un flux certain d'énergie, il n'en est pas moins des courants de pensés, des pistes, des chemins à creuser pour le bien-être, la sérénité de votre corps, de votre esprit et de votre subtilité.

D'autre part, et selon les articles 10 de la Convention européenne des droits de l’Homme du 4 novembre 1950 et 11 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne de 2000 : « Toute personne a droit à la liberté d’expression. Ce droit comprend la liberté d’opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans qu’il puisse y avoir ingérence d’autorités publiques et sans considération de frontières… »

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