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Normalité
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Normalité
Les personnes veulent généralement devenir d’autres personnes. Nous ne voulons pas accepter la plupart du temps qui nous sommes. Nous voyons l’herbe plus verte chez les autres mais rarement chez nous. Pourtant, quoi de mieux que de voir et ressentir, être présent, lorsque toutes nos capacités s’expriment avec fluidité, s’expriment de l’intérieur vers l’extérieur tout en trouvant leurs places, leur justesse naturelle. De même sur notre environnement, nous croyons que la nature n’est rien ou qu’elle se laisse faire. Mais au contraire la nature est en perpétuels changements, mouvements et dans un rythme bien précis et respectueux de son équilibre.
Voici quelques années en arrière, nous comprenions fortement que le rythme des saisons était nécessaire pour notre survie sur cette planète. Aujourd’hui le temps n’est pas plutôt entré dans l’hiver que nous voulons sortir du printemps. Il n’est pas plutôt arrivé en automne que nous regrettons l’été avec sa chaleur et ses plages. Car nous considérons que la normalité devrait être l’été. Dans tous les cas, ce que nous considérons bien pour nous, devrait être la normalité. Nous ne travaillons plus les mal-êtres, nous ne nous posons pas ou plus les questions pourquoi nous ne sommes pas bien dans telles ou telles situations. Nous accélérons et nous changeons de normalité avec cette accélération, perdant de vue le rythme de chaque chose, la musique de chaque événement et la vibration en toutes choses, nonobstant le fait, que nous nous perdons dans le consumérisme et les compétitions de celui qui va aller le plus vite. Ainsi les situations, les événements que nous vivons au quotidien n’ont pas le temps de se terminer que nous passons à autre chose et de ce fait, bien des énergies, bien des mouvements, bien des situations restent en suspens. (CF article Effets secondaires )
Un centenaire disait que pour vivre longtemps nous devons consommer des aliments de notre région ou de la région où nous sommes nés. Que nous devons boire de l’eau du même endroit d’où nous venons. Si tentés que nous croyons à la réincarnation ou encore à d’autres existences non terrestres, nous venons sur terre avec des énergies bien particulières, des « branchements » très particuliers et des intentions bien précises qui souvent au fil des années s’éloignent de nous ou plutôt, nous pourrions dire que ce sont nos choix qui nous éloignent de nos énergies, nos branchements, nos intentions, car nous ne pratiquons plus ou peu la conscience de ces énergies dont nous sommes pourvus. Nos énergies sont spécifiques à nous et seulement à nous. Lorsque nous absorbons dans notre corps des substances alimentaires ou même de l’émotion (c’est aussi de l’absorption), que nous absorbions par le sensitif ou toutes autres formes d’absorption dont nous disposons et de quelque nature que ce soit, cela perturbe pas forcément en mal, mais cela perturbe, modifie, sensibilise aussi notre stabilité naturelle. Cela modifie nos énergies et notre corps doit faire preuve d’adaptation pour rétablir la fluidité. Nous pourrions dire qu’il y a encore des stimuli, des besoins de notre véhicule, le corps humain, de trouver rapidement une solution à tout ce stress, nous prouvant qu’il est nécessaire d’aller plus vite pour résoudre ces mal-êtres. Et lorsque ces mal-êtres nous paraîtront résolus, alors nous pourrons nous reposer dans notre zone de confort et de bien-être ?
Où est la normalité dans ces cas ? Est-ce la fluidité qui peut nous paraître être un repos, de l’espace, de la tranquillité du fait de cet espace, ou le changement qui nous fait nous adapter à chaque seconde ?
Est-ce nos croyances ou celles des autres qui font que cette normalité est un bien-être ou plutôt une mise en sécurité pour nous ?
Demeurer ou ne pas demeurer
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Demeurer
La plupart du temps je suis personne.
Lorsque je deviens quelqu’un, c’est là, si je suis conscient et si je suis présent à moi-même dans cette intimité personnelle, que mon travail de chercheur du bonheur commence.
Être sur la voie de l’éveil, sur la voie de la conscience, de ma présence en chaque instant, peu importe les mots employés, est de déceler les moments où je RÉagis. C’est lorsque je lâche ma conscience de l’instant que mon égo surgit. C’est lorsque ma conscience quitte mon esprit que j’emploie le « moi moi moi », « le moi je veux ». C’est aussi lorsque j’observe mon intérieur, mon esprit et mon corps et que j’aperçois une résistance, une altération, une non fluidité, que je dois poser mon regard et que je dois faire une pause afin de resserrer mon observation.
Quel est ce bruit intérieur qui empêche cette fluidité de demeurer en moi ?
Qu’est-ce que je ressens intérieurement face à cette situation ?
Demeurer dans l’instant c’est aussi courir après un but et ce but est souvent emprunt d’égo. Car je VEUX atteindre ce but !
Ne pas demeurer, peut être aussi une manifestation de l’égo qui ne veut pas se fixer. Car je NE VEUX PAS rester pour ne pas être attrapé ou encore ne pas être contrôlé, être étiqueté ou dans beaucoup de cas être différent c’est se démarquer et se faire remarquer pour obtenir une reconnaissance.
Être un demeuré peut être assimilé à : « Rien dans le citron, pas de mourons ». Pas de conscience, une présence soumise aux vicissitudes de la vie aux énergies de toutes sortes. Être la marionnette de n’importe quoi n’importe quand.
Mais sur le chemin de l’obligation de conscience, ou nous pourrions dire, sur un certain cheminement de la vie et de la compréhension des évènements de la vie, comment pouvons-nous nous réaliser si nous ne pouvons rien être ?
Où êtes-vous dans votre corps ?
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Où êtes-vous dans votre corps ?
Occupez votre corps ! Comme cette petite phrase peut être comprise de différentes manières. Il est bien entendu que le verbe occuper, dans ce cas, signifie bien d’y vivre à l’intérieur en conscience et en le ressentant.
Aussi, il est facile de porter son attention dans certaines parties du corps mais parfois, à certains endroits, comme l’intérieur par exemple il est plutôt difficile d’y rester, d’y être, de le sentir, de le ressentir, de le percevoir. Pourtant la pratique de la conscientisation du corps vous permet une existence plus complète et plus aisée lorsqu’elle est journalière.
Rien de compliquer, mais une pratique régulière peut favoriser beaucoup de fonctionnements dans votre corps et, surtout et c’est là le plus intéressant, de faire disparaître beaucoup de dysfonctionnements. Partons du principe que le corps rejette ou plutôt ne fluidifie pas les parties non conscientes, celles que vous oubliez, celle qui vous intéressent moins, celles que vous n’aimez pas particulièrement. C’est à dire et pour prendre exemple qu’en vieillissant nous nous replions sur nous même et donc nous faisons moins attention à notre peau, notre extérieur. Nous avons, pendant des années pour la plupart d’entre nous, été à l’extérieur de notre corps. Lorsque nous portons notre attention sur l’intérieur après bien des années, et bien nous nous apercevons que ce n’est pas très bien entretenu. On va dire que le concierge n’est pas souvent passé. Pour beaucoup, nous avons fumé, quelques fois et même passivement, nous avons consommé des boissons en quantité, nous avons été soumis à des forts bruits pendant longtemps, genre boite de nuit, nous avons fétarder, ne respectant pas notre cycle de sommeil, nous nous sommes mal alimenté, en nourriture, en énergie, en savoir, nous avons vécu des désillusions, des expériences amoureuses plus ou moins douloureuses etc, etc. Bref, nous n’avons pas pris soin de nous autant émotionnellement que physiquement et encore moins spirituellement. Il est vital que nous devons renouer, non pas avec un vague souvenir de nos capacités, mais surtout avec ce qui est dans l’instant. Notre corps, présentement, avec toutes ses composantes, de la tête au pied en passant par la peau et ce qu’il y a dedans 🙂
Retrouvez une des pratiques =====> la Guidance « Perceptions intérieures » Le Corps (46mn)
Les vibrations en nous
Nous portons toutes les vibrations en nous !
C’est dans les choix conscients ou inconscients de nos actes, de notre verbe, de nos pensées, qui vont définir que nous allons activer, ou plutôt vivre et mettre en mouvement, les énergies dont nous avons besoin pour vivre ces choix.
Au fil des expériences, des rencontres, des mélanges d’informations de tous types et de toutes parts, nous connectons des possibilités d’expression de descentes d’énergies, d’alchimies nouvelles, dans la matière.
Rendre l’expression possible des perceptions subtiles, que nous détenons dans leur totalité.
Outre les sens, les perceptions subtiles et les dimensions voisines, nous expérimentons sans cesse, ces possibilités. Que cela est possible !