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Peur de bien faire ou recherche d’évolution
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Peur de Bien faire
Souvent nous faisons des choses sans que nous sachions ce qui nous conduit profondément. La peur de bien faire est assez subtile dans notre choix d’appréhender les situations. Même dans nos choix de nous faire plaisir, de nous offrir une certaine tendresse et aussi dans le choix de notre partenaire.
Vouloir bien faire est tout à fait légitime mais vouloir, par le simple fait d’avoir peur de mal faire et de perdre une certaine reconnaissance extérieure, de perdre une certaine puissance, de perdre une certaine assise sociale, peuvent nous conduire dans des mal-êtres souvent inconscients.
Pour chaque situation nouvelle, je me pose la question :
« Qu’est-ce qui me conduit, me dynamise, me guide, là maintenant ?
L’apprentissage, l’ouverture, la curiosité, le bien être, la fluidité, la sérénité
ou le besoin d’être au top, le besoin de bien faire, le besoin de montrer, de faire voir ? »
Le mouvement journalier
Janvier 2013
Sentir ce mouvement courir, s’activer, prendre possession de la totalité de mon corps en créant l’émotion, le sentiment, le désir de plaisir, la vie, les battement de mon coeur, le souffle, l’émanation de mon corps…
Mais est-ce vraiment ma nature divine ?
Est-ce vraiment cela, moi ?
Je perçois autre chose. Quelque chose de plus grand, de plus joyeux, de plus lumineux… et sans cette possession, ce besoin de conquérir, d’avoir l’espace intérieur… C’est entre cette possession et la matière dont est fait mon corps. C’est comme si je définissais le bonheur par cette sensation.
Un sourire, une ouverture…Serait ce être UN que de conscientiser, de percevoir, de voir, de sentir, de humer de gouter, de toucher la multitude de parties dont on est fait, dont on est composé ?
Je crois que oui. Oh oui ça vibre ! Et la compréhension, passe par la connaissance, l’intégration, le je suis ou plutôt j’y suis !
Oh oui c’est un point à sentir, mais si subtile, et je comprend qu’il ne peut être fait que dans ce moment, car il est si fragile par son inconstance, mais si puissant par sa plénitude son existence, sa brillance. Je veux replonger dans ce moment….
Les acteurs ?
Lâcher tout ou plutôt lâcher le devoir d’explication, le devoir de le garder, plus rien n’a d’importance… être dans la tranquillité, la sérénité, être comblé, pas par ce que l’on obtient mais par ce que l’on reçoit de soi même… enfin…
J’ai la sensation que la vie peut commencer
Mais est-ce que ça va durer ? Je m’en fou ! car 1 seconde de cet état vaut toute une vie, vaut la peine d’être là !!!
C’est comme le rire d’un enfant, de son enfant, le sourire, le regard…tout devient si….présent !
Et le sens de passer un chouette après midi devient multiple
…