Citation Buddha Shakyamuni
Citation du Buddha Shakyamuni
« … Oui, Kâlâma, il est juste que vous soyez dans le doute et dans la perplexité, car le doute s’est élevé en une matière qui est douteuse.
Maintenant, écoutez, Kâlâma, ne vous laissez pas guider par l’autorité de textes religieux,
ni par la simple logique ou l’inférence,
ni par de la tradition,
ni par de la rumeur,
ni par les apparences,
ni par le plaisir de spéculer sur des opinions,
ni par des vraisemblances possibles,
ni par la pensée « il est notre maître ».
Mais, Kâlâma, lorsque vous savez par vous-mêmes que certaines choses sont défavorables, alors, renoncez-y…
Et lorsque par vous-mêmes vous savez que certaines choses sont favorables et bonnes, alors acceptez-les et suivez les. »
(Bouddha Shakyamuni).
La nature des choses et des phénomènes
La nature des choses et des phénomènes
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La nature des choses et des phénomènes
…/… Dans la façon dont nous avons de percevoir les phénomènes, il y a très souvent une différence entre la nature des choses, et comment elles nous apparaissent.
Bien sûr dans certains cas, on voit les choses telles qu’elles sont, mais la plupart du temps nous voyons les choses différemment, c’est-à-dire que la façon dont elles nous apparaissent n’est pas en harmonie ou en accord, n’est pas conforme à leur nature véritable.
On voit très souvent les êtres humains mais aussi les animaux, commettre des erreurs et observer qu’ils prennent une chose pour une autre. Il y a toutes sortes de méprises qui se produisent constamment dans l’existence et qui nous trompent, qui nous induisent en erreur. Ça c’est pour nos perceptions ordinaires, comme de voir une forme et de penser que c’est autre chose et donc ce genre de confusion se produit très souvent. Mais il y en a d’autres qui sont plus subtiles. Par exemple les phénomènes sont impermanent par nature jusqu’au niveau le plus subtile. Aucun phénomène ne peut demeurer identique à lui-même deux instants successifs, ça c’est pour la nature des choses.
La façon dont nous percevons est bien souvent comme quelque chose de permanent. Un objet, nous pensons qu’il existe, qu’il est permanent, qu’il semble solide, alors qu’en fait il change à chaque instant. Donc là il y a de nouveau une non-conformité dans la façon dont les choses nous apparaissent, et la façon dont ces choses sont. Ou encore il y a des choses qui nous semblent très attrayantes, qui nous semblent être source de bonheur, et qui en fait sont source de conflits, de troubles et de tourments. Donc elles nous apparaissent comme étant extrêmement attrayantes alors que leur nature sont en fait sources d’ennuis et de souffrances.
Être humain
Être humain
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Etre Humain
Un arbre est un arbre jusqu’à ce que l’on dise que ce n’est pas un arbre. Mais par exemple, que c’est une herbe. Du point de vue de notre taille, les arbres peuvent ressembler à un arbre comme nous les connaissons, comme on nous les a décrit. Avec leurs racines qui s’enfoncent dans la terre, leur tronc, leur écorce, leur branches et leur feuillages qui s’élèvent dans le ciel. Mais depuis un avion, nous n’allons voir que de l’étendue verte et la conception même de l’arbre si nous n’avons connu que cet angle de vue, celui du ciel, sera absent de notre regard et sera absent du domaine même de la connaissance de notre esprit. Qu’en est-il de notre condition d’humain ?
Bon nombre de personnes sentent, perçoivent que la condition dont on les nomme ne correspond pas tout à fait à leurs ressentis. Par exemple, certains ressentent qu’ils sont des femmes alors qu’ils sont pourvus d’une enveloppe d’homme. Certaines ressentent qu’elles sont des hommes alors qu’elles sont pourvues d’une enveloppe de femme. Ceci est bien connu de la plupart d’entre nous.
Aussi loin que vous pouvez vous souvenir, n’avez-vous jamais ressenti que vous n’étiez pas ce que l’on disait que vous étiez ? Pas forcément d’un autre sexe mais d’une autre condition. Par exemple que l’enveloppe du corps humain dont nous étions revêtu n’était pas la composante essentielle de notre être. Possible aussi qu’une autre perception est été présente, même une autre compréhension plus vaste de nous même ou peut être plus intérieure de nous même ? Peut être ressentez-vous encore aujourd’hui cette particularité ?
Ces questions ne sont pas là pour vous faire partir vers l’extérieur de vous même, mais bien de pouvoir vous faire toucher/ressentir, poser le regard sur la force qui est en vous, la force qui vous habite et qui compose cette existence qui est la votre sur cette terre où vous habitez. Il ne s’agit pas de faire un voyage et de se prendre pour un extraterrestre mais bien de rester dans vos chaussures, bien dans cette dimension qui est la votre et dont tous nous faisons partie.
Souvent, lorsque nous étions plus jeunes, nous nous sommes confrontés avec ce monde étrange où nous vivons actuellement. Je dis étrange car nous avions à l’époque, parfois pendant quelques mois ou durant des années, nous avions tant de questions à poser aux adultes que les adultes même étaient parfois décontenancés pour trouver une réponse. Ces questions les amenaient sur un chemin de réflexion, de sagesse parfois, avec beaucoup de différence dans la façon de penser de ces adultes. Nous suscitions de la réflexions chez ces mêmes adultes, de l’interrogation et parfois même de l’admiration, car ces paroles, ces commentaires, ces questions que nous posions étaient une mise en réflexion étonnante.
Sutra du lotus
LE SUTRA DU LOTUS
Parabole de la maison en feu (extrait). La connaissance vous mène à la sagesse.
Qui plus est, Shariputra, je vais à présent me servir moi aussi d’analogies et de paraboles pour expliciter cette doctrine, car se servir d’analogies et de paraboles permet aux personnes de sagesse de parvenir à la compréhension.
Shariputra, imagine que dans certaine ville d’un pays donné vivait un très riche personnage.
D’âge déjà avancé et d’une fortune inimaginable, il possédait d’innombrables champs, maisons et serviteurs. Sa propre demeure, vaste et pleine de recoins, ne disposait cependant que d’une seule porte d’entrée. Beaucoup de gens vivaient là – cent, deux cents, voire jusqu’à cinq cents personnes. Les salles et les chambres étaient vétustes et délabrées, les murs croulants, les pilastres vermoulus à la base, les poutres et les chevrons infléchis et tordus.
Or, un incendie survint, qui se répandit à travers toute la maison et gagna toutes les pièces. Les fils de ce riche personnage, dix, vingt ou peut-être même trente, se trouvaient à l’intérieur. Lorsque leur père vit les flammes immenses lécher les murs de tous côtés, affolé et terrifié, il se dit: « Je peux me mettre en sécurité en franchissant la porte d’entrée en proie aux flammes, mais mes fils sont à l’intérieur de cette maison qui brûle, ils jouent et s’amusent en toute insouciance, ignorant qu’il y a le feu et inconscients de tout danger. Le brasier se rapproche et va les cerner, des souffrances terribles les menacent mais comment songeraient-ils à s’échapper puisqu’ils n’ont aucune notion du péril qui les guette?
« Shariputra, notre riche personnage réfléchit encore: ‘J’ai suffisamment de force dans le corps et les bras, je peux les envelopper d’un vêtement, les mettre sur un banc et les porter à l’extérieur de la maison. » Puis il poursuivit son raisonnement: « La maison n’a qu’une seule entrée, qui est petite et bien étroite. Mes fils sont très jeunes, ils ne comprennent rien, ils aiment tant leurs jeux et y sont si absorbés qu’ils risquent fort de périr brûlés. Il faut absolument que je leur explique pourquoi je suis si inquiet pour eux. La maison est dévorée par les flammes, il faut que je les fasse sortir au plus vite et les empêche de mourir dans l’incendie! »
Arrivé là dans ses réflexions, il suivit son plan, appela ses fils et leur dit: « Sortez immédiatement! » Mais bien que leur père soit plein de pitié pour eux et leur donne des instructions pour leur bien, les enfants étaient si absorbés dans leurs jeux qu’ils n’avaient aucune envie de lui obéir. Aucune crainte, aucune peur ne les habitait, ni la moindre préoccupation quant à la nécessité de quitter la maison. Qui plus est, ils n’avaient aucune notion de ce qu’étaient un incendie, ni une maison, ni un danger. Ils continuaient donc à courir dans tous les sens et à jouer, à regarder leur père sans la moindre velléité de lui obéir.
Sutra de la Voie du Milieu
Sutra de la Voie du Milieu (extrait)
J’ai entendu ces paroles du Bouddha alors qu’il séjournait à la maison d’hôtes d’une forêt du district de Nala. A cette époque, le Vénérable Kaccayana vint lui rendre visite et lui demanda :
» Le Très Honoré a parlé de Vue Juste. Comment le Très Honoré pourrait-il décrire cette Vue Juste ? »
Le Bouddha répondit à Kaccayana :
» Les gens dans le monde ont tendance à croire en l’une de ces deux vues : la vue de l’être et la vue du non-être. C’est pourquoi ils sont attachés à une perception fausse. Cette fausse perception les conduit aux concepts de l’être et du non-être.
Kaccayana, la plupart des gens sont prisonniers des formations internes de la discrimination et de la préférence, de la saisie et de l’attachement. Ceux qui ne sont pas prisonniers des nœuds internes de la saisie et de l’attachement ne pourront plus imaginer l’idée d’un soi et s’y accrocher.
Ils comprendront par exemple que la souffrance apparaît lorsque les conditions favorables sont réunies et qu’elle s’éteint lorsque les conditions ne sont plus favorables. Ils ne douteront plus.
Leur compréhension ne viendra pas des autres; elle résultera de leur vision intérieure. Cette vision intérieure est ce que l’on nomme « Vue Juste » et c’est ainsi que le Tathâgata décrit la Vue Juste.
Pourquoi est-ce ainsi ? Quand une personne a une vision intérieure juste, et qu’elle observe la manifestation continuelle du monde, le concept de non-être ne survient pas; et quand elle observe, la destruction continuelle du monde, l’idée d’être n’apparaît pas dans son esprit.
Kaccayana, voir le monde comme existant est un extrême; le voir comme inexistant est un autre extrême.
Le Tathâgata écarte ces deux extrêmes et enseigne le chemin qui réside dans la Voie du Milieu.
La Voie du Milieu dit que ceci est, parce que cela est; ceci n’est pas, parce que cela n’est pas. Parce que l’ignorance existe, les formations mentales existent; parce que les formations mentales existent, la conscience existe; parce que la conscience existe, les phénomènes physiques et mentaux existent; parce que les phénomènes physiques et mentaux existent, les six sens existent; parce que les six sens existent, le contact existe; parce que le contact existe, les sensations existent; parce que les sensations existent, le désir existe; parce que le désir existe, la saisie existe; parce que la saisie existe, le devenir existe; parce que le devenir existe, la naissance existe; parce que la naissance existe, la vieillesse et la mort existent. Voilà comment cette masse entière de souffrance se manifeste. Mais avec l’extinction de l’ignorance, les formations mentales cessent; avec l’extinction des formations mentales, la conscience cesse; … et finalement, la naissance, la vieillesse, la mort, le chagrin et la souffrance disparaîtront. Voilà comment cette masse entière de souffrance s’éteint.
Après avoir écouté le Bouddha, le Vénérable Kaccayana atteignit l’éveil et fut libéré de la souffrance. Il fut capable de délier tous ses nœuds internes et atteignit l’état d’Arahat.
Samyutta Agama 301
Traduction libre de Chantal Gorski du Soutra de la voie du milieu.
Sutra du diamant
Sutra du diamant (extrait)
1
Voici ce que j’ai entendu un jour: le Bouddha demeurait dans le monastère du parc d’Anathapinka, dans le bocage de Jeta, non loin de Sravasti, accompagné de mille deux cent cinquante moines pleinement ordonnés.
Ce jour-là, à l’heure dite pour les aumônes, le Bouddha mit sa robe de sanghati, prit son bol et entra dans la ville de Sravasti, allant de maison en maison afin d’y mendier sa nourriture.
Lorsqu’il recueillit ces dons, il revint au monastère afin d’y déjeuner.
Ensuite, il ôta sa robe, posa son bol, se lava les pieds, disposa son coussin et s’assit.
2
À ce moment, le Vénérable Subhuti se leva de son siège, rejeta son manteau sur son épaule droite, posa un genou au sol et, joignant les mains en signe de respect, s’adressa au Bouddha:
«Honoré-par-le-Monde, un être tel que toi est chose rare. Tu soutiens toujours fermement les bodhisattvas et tu leur accordes ta pleine confiance.
«Honoré-par-le-Monde, si les fils et filles de bonne famille entendent donner naissance au sublime et parfait esprit d’éveil, sur quoi doivent ils tabler et que doivent-ils faire pour maîtriser leur pensée?
– Voilà qui est parlé, Subhuti! répondit le Bouddha. Tes mots sont d’une absolue justesse. Le Tathâgata soutient toujours fermement les bodhisattvas et leur accorde sa pleine confiance. Aussi, écoute avec la plus grande attention, et le Tathâgata répondra à ta question. Si les fils et filles de bonne famille entendent donner naissance au sublime et parfait esprit d’éveil, ils doivent tabler sur ce qui suit et maîtriser leur pensée de la manière suivante.
– “Seigneur, fit le Vénérable Subhuti, nous sommes si heureux d’entendre ton enseignement.”
Sutra du cœur
Sutra du cœur (extrait)
Le Maître Bouddha, étant parvenu à la parfaite Sagesse Suprême, vit que les agrégats, avec lesquels nous essayons de comprendre le Monde où nous vivons, sont artificiels et n’ont pas d’existence propre ; ce sont ces artifices, pris pour la réalité, qui sont causes de l’amertume et de la souffrance de tous les Hommes.
O disciple, la Forme n’est pas différente du Vide, ni le Vide de la Forme. La Forme EST Vacuité. La Vacuité EST Forme. Il en va de même pour les sensations, les perceptions, les formations mentales et la conscience.
O disciple, toutes les choses dans ce monde se résolvent dans la Vacuité, elles ne viennent pas à l’Être, elles ne cessent pas d’Être, elles ne sont ni altérées, ni immaculées, elles n’augmentent ni ne diminuent. Ainsi, dans la Vacuité, il n’y a pas de formes, pas de sensations, de perceptions, de formations mentales, ni de conscience. Pas d’yeux, pas d’oreilles, pas de nez, de langue, de corps ni de mental. Pas de formes, pas de sons, pas d’odeurs, de goûts, de toucher, ni de pensées. Pas non plus de consciences de ces choses depuis l’œil jusqu’à la conscience mentale. En soi seul, il n’y a ni interdiction, ni permission, ni aucun des douze chaînons, ni mort, ni vieillissement, ni souffrance, ni cause de souffrance, ni science, ni savoir.
C’est en raison de cette Vacuité non-dualisante, ni artificielle, que les Éveillés, s’appuyant sur cette Sagesse Suprême, sont libérés des obstacles du mental. Comme ils sont libérés de ces attachements mentaux, ils n’ont ni voile, ni crainte. Ils sont libérés de toutes les perturbations et de toutes les illusions et à la fin parviennent à l’éveil parfait. C’est en appliquant la quintessence de cette Sagesse Suprême que tous les Réalisés des trois Temps réalisent l’Illumination Ultime.
Partez donc sur la Voie de la Sagesse Suprême avec le grand Verbe d’Incantation, ce Mantra Ultime ! Mantra suscitant la Connaissance, mantra incomparable, insurpassé, développant la faculté de mettre fin à toutes souffrances dans la Vérité sans faille. C’est pourquoi ce mantra qui ouvre la Voie de la Sagesse Suprême doit être prononcé ainsi :
Teyata – Gaté Gaté – Pâragaté – Pârasamgaté Bodhi Svâhâ
De cette façon, Aller Aller, Aller au delà, Aller complètement au-delà de vous même et entrer dans la lumière.
De cette façon, Allez, allez au-delà de la saisie immédiate de vos visions dualisantes, découvrez le sens originel et ultime de chaque chose pour accéder à l’éternité de l’Éveil, par la perfection de la Sagesse Suprême.
Pratiquer : Shiné ou Shamatha, Vipassana, Shunya et Samadhi.
Cela est ainsi !
Sa Sainteté le 14eme Dalai Lama explique le sutra du coeur :
Esprit sans repos
L’esprit sans repos
Tu te plains encore et encore,
de ce que ton esprit est sans repos,
mais regardes, voies avec quoi tu l’alimentes !
N’oublies pas, le nourrir des idées
d’un monde en perpétuel changement
ne peut le rendre stable.
Ton esprit ne connaîtra de paix, de calme,
que si tu l’amènes à s’établir dans l’Être (Atman, le soi),
qui seul est stable et paisible.
Normalité
Normalité
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Normalité
Les personnes veulent généralement devenir d’autres personnes. Nous ne voulons pas accepter la plupart du temps qui nous sommes. Nous voyons l’herbe plus verte chez les autres mais rarement chez nous. Pourtant, quoi de mieux que de voir et ressentir, être présent, lorsque toutes nos capacités s’expriment avec fluidité, s’expriment de l’intérieur vers l’extérieur tout en trouvant leurs places, leur justesse naturelle. De même sur notre environnement, nous croyons que la nature n’est rien ou qu’elle se laisse faire. Mais au contraire la nature est en perpétuels changements, mouvements et dans un rythme bien précis et respectueux de son équilibre.
Voici quelques années en arrière, nous comprenions fortement que le rythme des saisons était nécessaire pour notre survie sur cette planète. Aujourd’hui le temps n’est pas plutôt entré dans l’hiver que nous voulons sortir du printemps. Il n’est pas plutôt arrivé en automne que nous regrettons l’été avec sa chaleur et ses plages. Car nous considérons que la normalité devrait être l’été. Dans tous les cas, ce que nous considérons bien pour nous, devrait être la normalité. Nous ne travaillons plus les mal-êtres, nous ne nous posons pas ou plus les questions pourquoi nous ne sommes pas bien dans telles ou telles situations. Nous accélérons et nous changeons de normalité avec cette accélération, perdant de vue le rythme de chaque chose, la musique de chaque événement et la vibration en toutes choses, nonobstant le fait, que nous nous perdons dans le consumérisme et les compétitions de celui qui va aller le plus vite. Ainsi les situations, les événements que nous vivons au quotidien n’ont pas le temps de se terminer que nous passons à autre chose et de ce fait, bien des énergies, bien des mouvements, bien des situations restent en suspens. (CF article Effets secondaires )
Un centenaire disait que pour vivre longtemps nous devons consommer des aliments de notre région ou de la région où nous sommes nés. Que nous devons boire de l’eau du même endroit d’où nous venons. Si tentés que nous croyons à la réincarnation ou encore à d’autres existences non terrestres, nous venons sur terre avec des énergies bien particulières, des « branchements » très particuliers et des intentions bien précises qui souvent au fil des années s’éloignent de nous ou plutôt, nous pourrions dire que ce sont nos choix qui nous éloignent de nos énergies, nos branchements, nos intentions, car nous ne pratiquons plus ou peu la conscience de ces énergies dont nous sommes pourvus. Nos énergies sont spécifiques à nous et seulement à nous. Lorsque nous absorbons dans notre corps des substances alimentaires ou même de l’émotion (c’est aussi de l’absorption), que nous absorbions par le sensitif ou toutes autres formes d’absorption dont nous disposons et de quelque nature que ce soit, cela perturbe pas forcément en mal, mais cela perturbe, modifie, sensibilise aussi notre stabilité naturelle. Cela modifie nos énergies et notre corps doit faire preuve d’adaptation pour rétablir la fluidité. Nous pourrions dire qu’il y a encore des stimuli, des besoins de notre véhicule, le corps humain, de trouver rapidement une solution à tout ce stress, nous prouvant qu’il est nécessaire d’aller plus vite pour résoudre ces mal-êtres. Et lorsque ces mal-êtres nous paraîtront résolus, alors nous pourrons nous reposer dans notre zone de confort et de bien-être ?
Où est la normalité dans ces cas ? Est-ce la fluidité qui peut nous paraître être un repos, de l’espace, de la tranquillité du fait de cet espace, ou le changement qui nous fait nous adapter à chaque seconde ?
Est-ce nos croyances ou celles des autres qui font que cette normalité est un bien-être ou plutôt une mise en sécurité pour nous ?
Top 27 Aliments alcalins par William Krasowsky
Le top 27 des aliments alcalins (Mangez-en plus pour prévenir le cancer, l’obésité et les maladies cardiaques)
Le top 27 des aliments alcalins sur Terre
Par : William Krasowsky
Voir aussi l’article lesintuitions.com : L’Alimentation équilibrée
Voir aussi l’article lesintuitions.com : Le principe du pH
La restauration rapide et la malbouffe ont envahi notre société, nous rendant dépendants de ce genre de nourriture. Bien loin de la seule nocivité des ingrédients que contiennent les produits vendus dans les « fast-foods », ce style alimentaire déséquilibre le pH de notre corps. Découvrez donc les aliments alcalins à consommer pour contrer ces effets néfastes !
Le corps humain nécessite la consommation d’aliments alcalins pour le bon fonctionnement de l’organisme. Car quand nous mangeons des aliments acides, le pH dans notre sang change d’un niveau alcalin normal à un niveau d’acidité dangereux. Cela affecte le système immunitaire et nous rend vulnérable face aux maladies.