Dhammapada – Dharmapada
Le Dhammapada (en pāli : (Dhammapada) ; en sanskrit : Dharmapada ; traduction française : Ce sont les vers du Dharma, les vers de l’enseignement).
Le Dhammapada ou Dharmapada est l’un des textes du Tipitaka (les textes sacrés du bouddhisme), le canon bouddhique pāli.
« Il y a, bhikkhous, ces cinq bienfaits à l’écoute du Dhamma.
Quels sont ces cinq ?
On entend ce qu’on n’a pas entendu,
On clarifie ce qu’on a entendu,
On supprime les doutes,
On rectifie ses vues et l’esprit devient serein.
Voici, bhikkhous, quels sont ces cinq bienfaits de l’écoute du Dhamma. »
No |
Titres |
Nbre |
I | Versets sur les paires d’opposées |
20 |
II | Versets sur l’attention |
12 |
III | Versets sur le cœur, l’esprit |
11 |
IV | Versets sur les fleurs | 16 |
V | Versets sur les inconscients | 16 |
VI | Versets sur le sage | 14 |
VII | Versets sur l’Arahat, le noble être éveillé |
10 |
VIII | Versets sur les milliers | 16 |
IX | Versets sur le mal | 13 |
X | Versets sur la violence | 17 |
XI | Versets sur le vieillissement |
11 |
XII | Versets sur le moi |
10 |
XIII | Versets sur le monde | 12 |
XIV | Versets sur l’Éveillé | 18 |
XV | Versets sur le bonheur | 12 |
XVI | Versets sur ceux qui nous sont chers |
12 |
XVII | Versets sur la colère | 14 |
XVIII | Versets sur les impuretés | 21 |
XIX | Versets sur le juste | 17 |
XX | Versets sur la voie |
17 |
XXI | Versets divers | 16 |
XXII | Versets sur les états malheureux | 14 |
XXIII | Versets sur l’éléphant | 14 |
XXIV | Versets sur l’avidité |
26 |
XXV | Versets sur le Bhikkhou, le moine |
23 |
XXVI | Versets sur le Brāhmane, le St homme |
41 |
Bouddha – le Dhammapada – citation
Le Bouddha disait dans le Dharma, son enseignement et texte sacré du Dharmmapada
(versets sur les paires d’opposées) :
« Tous les phénomènes qui se manifestent à nous naissent dans notre cœur et dans notre esprit ; ils sont dirigés par le cœur et l’esprit, ils sont fabriqués par le cœur et l’esprit.
Si nous parlons ou agissons avec un cœur et un esprit souillés, alors la souffrance s’ensuivra aussi inévitablement que la roue du chariot suit la trace des sabots du bœuf qui le tire.
Tous les phénomènes qui se manifestent à nous naissent dans notre cœur et dans notre esprit ; ils sont dirigés par le cœur et l’esprit, ils sont fabriqués par le cœur et l’esprit.
Si nous parlons ou agissons avec un cœur et un esprit paisibles et lumineux, alors le bonheur s’ensuivra aussi inévitablement que l’ombre qui jamais ne nous quitte. »
Le Bouddha a été traduit comme ceci ce qui n’est pas totalement juste :
« Nous sommes ce que nous pensons, tout ce que nous sommes s’élève de nos pensées, avec nos pensées nous créons le monde. Parler ou agissez avec un esprit mauvais, méchant et la souffrance s’en suivra.
Nous sommes ce que nous pensons, tout ce que nous sommes s’élève de nos pensées, avec nos pensées nous créons le monde. Parler ou agissez avec un esprit pur et le bonheur s’en suivra. »
Les mots sont importants, les tournures de phrases aussi. Celui qui déforme ou tente de s’éloigner du Dharma, celui là, cours à sa perte. Car l’esprit est comme un cristal. Si vous l’occupez avec quelque chose, il devient ce quelque chose. Si vous mettez un tissu vert sur le cristal, il devient vert. Si vous mettez un tissu jaune le cristal devient jaune et ainsi de suite. Comme Sa Sainteté le 14eme Dalaï-lama l’a dit, l’esprit est le potentiel à la fois du bien et du mal, à la fois du constructif et du destructeur.
Ce n’est pas parce que nous dirigeons ou nous contrôlons un voiture que nous sommes créateur de cette voiture. Le positionnement n’est pas du tout pareil. Nous ne créons pas le monde. Le monde existe et nous conduisons notre corps et notre esprit comme nous pensons que cela est juste. Le soucis c’est que nous voulons contrôler le monde au lieu de l’écoute, de le regarder pensant que nous pourrons le contrôler. Je ne parle pas que du monde des humains, mais nous n’écoutons pas la terre, les animaux, les végétaux, les minéraux. Nous ne focalisons que sur les humains en associant la terre et toutes ses composantes, tout son fonctionnement à cela.
Sommes-nous dans le juste ?
Si vous pensez cela alors cela reviendrait à dire que lorsque une pièce de ma voiture est défectueuse la voiture va mal !
Non, pas du tout. Ce n’est pas l’ensemble de la voiture mais bien la partie qui ne fonctionne pas.
Si nous associons la terre aux humains, alors tout ce qui va dépendre des humains en terme de problème sera associé à la terre. Nous faisons beaucoup d’amalgames de ce genre. Nous ne prenons pas le temps de regarder, d’écouter, de percevoir et de ressentir. Ce n’est pas parce qu’il y a une chose qui ne va pas que la situation demande à ne pas être, à ne pas exister. Peut être tout simplement de revoir notre vision des choses et de changer la façon que nous avons de percevoir, de regarder les situations, ces choses et, de reformuler notre façon de dire les mots, les phrases.
A cet instant, à cause de l’ignorance et des émotions négatives, nous agissons d’une façon négative et c’est la souffrance mentale qui s’en suit avec une profondeur terrible.
Mais si nous entraînons notre esprit, tout comme un musicien le fait avec son instrument, cela va entraîner la libération ou plutôt faire travailler les parties positives de notre cerveau et ainsi faire émerger notre nature véritable.
Si nous entraînons notre esprit positivement, les parties du cerveau qui forment les émotions positives comme le bonheur, l’enthousiasme, le contrôle de soi, etc, seront toujours stimulées et pas seulement lorsque nous pratiquons mais aussi hors des moments de pratique.
Petit résumé des enseignements du Bouddha :
« Ne faites aucun tort à vous ou à autrui.
Trouver un trésor de vertu, une passion.
Maîtriser ou dompter votre esprit. »
Ainsi votre nature véritable aura plus de chance d’émerger. Ainsi le bonheur aura plus de chance de naître en vous.
Bien à vous
Hervé
Lesintuitions.com
lesenergies.fr
Bel été à toutes et tous
Tant que nous croyons que notre mental régis le tout, dans notre vie, alors toutes nos actions, toutes nos pensées, toutes nos émotions seront gouvernées par le mental et ses vicissitudes. C’est à dire le mental et ses dépendances de fonctionnement. Ainsi fera partie de notre monde, bourreau, offensé, offenseur et sauveur, tous les préceptes valides de l’esprit analytique que l’on appelle l’esprit grossier.
Dès lors que notre mental devient silencieux, c’est à dire que nous connaissons de mieux en mieux ses fonctionnements et que nous nous efforçons de ne plus les suivre, alors ce mental fort de sa puissance s’affaiblit. De cette faiblesse naît les peurs. Ces peurs font parties intégrantes des soubresauts de notre mental qui veut tout contrôler.
Persévérer dans la voie de la connaissance de notre esprit et peu à peu vous verrez naître une autre forme de regard, de compréhension et de sagesse.
Le voile composé de nos facteurs obscurcissant, c’est de sortir de notre stabilité et de notre être, c’est aller nous chercher au dehors de notre être. C’est se quitter et ainsi laisser la place à d’autres énergies, d’autres personnalités, d’autres élans que les nôtres. Le voile, composé de nos émotions débordantes, de nos pensées incessantes, tombe et ainsi apparaît notre nature véritable.
Mais qu’est-ce que la nature véritable ?
Notre nature véritable est simplement ce que nous pouvons tous expérimenter. Percevoir au delà de notre être au quotidien. C’est à dire au delà du regard, il y a une autre forme de regard. Au delà de notre ouïe, il y a une autre forme d’écoute. Au delà de notre goût, il y a une autre forme de gustation. Au delà de notre faculté de sentir se cache une autre forme de perception des odeurs. Au delà du toucher, il y a une autre forme de perception du toucher.
Les sons ne sont plus de simples sons, les odeurs ne sont plus de simples odeurs, toucher la matière n’est pas une simple caresse, poser le regard en toutes choses n’est plus un simple regard.
Tous nos sens lorsqu’ils se révèlent, font apparaître des dimensions autres que notre corps physique qui sont bien plus vaste que ce que nous croyons.
La voie
La voie, c’est Le Bouddha, le Dharma et la Sangha
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La voie avril 2019
Lorsque nous envisageons la voie ou le chemin de l’enseignement du Bouddha, c’est ce que l’on appelle le Dharma. Nous avons vu d’ailleurs qu’il y a plusieurs sens à ce mot Dharma et que l’on peut résumer par « prendre refuge » ou de « se protéger ».
C’est à dire nous « réfugier » dans l’enseignement. Et dans le cas de la pratique de la voie, de quoi allons-nous chercher à nous protéger ?
C’est de la souffrance.
C’est cela que nous voulons éviter. La meilleure protection se serait si le Dharma pouvait nous permettre de transcender la souffrance. C’est ce que l’on appelle le Nirvana. Le Nirvana veut dire étymologiquement « ce qui est au-delà de la souffrance », ce qui est au-delà de ce qui nous afflige. Et ce qui nous afflige ce sont précisément ces facteurs mentaux obscurcissant, les « claysha ».
Ce sont les moteurs, ce sont les sources de la souffrance et donc le Nirvana c’est de transcender, de se débarrasser des ces toxines mentales, de ces « claycha ». Et là nous avons vraiment un véritable refuge ultime. C’est pour cela que l’on dit que l’aspect ultime du Dharma c’est le Nirvana, c’est ce qui est au delà des facteurs mentaux obscurcissant et de ce qui nous afflige, la protection ultime à l’égard de la souffrance pour que nous puissions accéder au Samadhi.
Maintenant si on regarde la nature de ce Nirvana, et bien certes, c’est aussi la nature fondamentale de notre esprit, mais ce n’est pas une entité. Le Nirvana n’est pas une entité permanente. Il n’a pas toujours été là comme le résultat d’une connaissance.
Ce n’est pas comme le simple fait d’exister, qui est un fait, c’est la nature des choses, l’existence est là et nous ne pouvons pas la nier et elle n’a pas besoin de justification que le simple fait que le monde des phénomènes existe, tandis que le Nirvana est le résultat d’une transformation.
Il y a là un événement nouveau qui est lié de notre effort de purification, par rapport aux facteurs mentaux obscurcissant, qui ont lié des causes et des conditions. L’accomplissement de ce but, de ce Nirvana, dépend de soi. Cela rentre dans le cadre des quatre nobles vérités.
Se mettre en vacance
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Nature
les intuitions. Notre esprit, habitué à penser, à rechercher la meilleure solution à un problème ; et notre mental en crée de nombreux à chaque seconde ; notre esprit, habitué à créer continuellement, à faire quelque chose, parfois à faire n’importe quoi, il est très difficile d’arrêter ce flux de pensées et de se mettre en vacance.
Nous ne pouvons pas considérer ce flux de pensées comme mauvais. Parce qu’il est un des maillons qui soutient la totalité de notre être dans notre fonctionnement d’aujourd’hui. Et avant de considérer notre esprit comme mauvais, il est temps de poser le regard sur une vaste étendue qu’est notre être, avec ses vicissitudes de la vie, nos aspirations, nos tendances passées, présentes et futures etc.
Ce flux de pensées, parfois imposant, parfois insoutenable, débordant même, mais aussi faisant partie des piliers de notre être tout entier, nous donnant une stabilité, une consistance, une existence parfois, nous confère la difficulté de se mettre en vacance.
Ainsi cet état, que nous pourrions considérer comme de l’arrêt, pour quelqu’un qui est toujours en mouvement, n’est pas chose aisée et le monde occidental dans lequel nous vivons ne nous aide pas non plus à nous rapprocher de notre mise en vacance.
Si je fais un peu d’histoire, sans remonter bien loin, nous avons toujours été initiés à bouger, à faire quelque chose mais surtout à rester dans les extrêmes. Toujours en action. Et il est parfois difficile de se rendre compte que grâce à cette mise en action ou à cause de cette mise en action, nous sommes toujours en mouvement continuel. Et se mettre en vacance se révèle être pratiquement hors de portée. Alors que pour certaines personnes ce serait même indispensable.
Nature
Nature
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Nature
Bon nombre de personnes disent que nous venons des grecs, des latins, des romains, des francs (germaniques), des arabes, que nous sommes d’origine de notre pays, américains, français, chinois ou australiens parce que nous avons été influencé par d’autres ethnies ou parce que nous sommes nés dans ce pays etc…
Mais est-ce là notre véritable nature ?
Bien sûr nous avons eu des influences et nous en avons encore et bien plus que nous le croyons. Regardons simplement les alliances entre pays, notre manière de nous alimenter ou encore l’environnement social qui n’est certes pas pareil, par exemple d’un pays du sud-est de l’Asie et d’un pays nord-Européen. Mais ces influences ne sont que de la communication, la manière de nous exprimer verbalement et parfois même pour exprimer quelques pas de danse différents, nous pourrions dire.
Pour des anglophones, dirions nous que tous les anglophones sont anglais ?
Ou dirions nous que tous les francophones sont français ?
Peut être même, dirions nous que tous les humains sont pareils, avec une égalité ou une liberté parfaitement égale ?
Si nous regardons bien la nature de la race humaine; car si l’on parle de races, il n’y a pas une race jaune, rouge, blanche ou noire, asiatique, caucasienne, africaine etc, mais une seule et même race celle de la race humaine ;
notre nature n’est pas seulement que de la communication. Les mots, la formulation, parfois même la notion de réflexion sont toutes empruntes d’influences. Mais là-dessous, devant toute cette globalité que forge notre être tout entier, la communication n’est en fait qu’une partie de cette expression. 90% du langage du corps ne fait pas parti du verbe. Doit on considérer que ces 90% sont d’influences grecques, latines, francs ou plutôt germaniques ou encore arabes ou autres ?
Si nous définissons le NOUS par les 90% qui nous habite, alors nous tentons à être fortement ces 90%. Et non pas les 10% restant si tentait même que l’on puisse en calculer le pourcentage.
La réalité n’est pas une coque que l’on nous attribut. Si nous nous laissons faire et bien peut être que nous deviendrons cette coque, cette limitation, cette programmation, mais nous verrons apparaître des désordres physiques, psychiques, car la nature véritable de l’être ne peut être longtemps retenue.
Certes nous sommes des bêtes ou encore des êtres voués à tuer ou encore violenter son prochain.
Ça c’est ce que nous croyons et c’est ce que l’on essaye de nous faire croire. Croire que c’est la seule porte de sortie ou encore résultante à appliquer dans les situations, n’est qu’une idéologie fantoche pour que l’on nous empêche de nous relier avec quelque chose de plus divin. Nous maintenir dans des vibrations basses ne s’agit là que d’effets liés a une cause, celle de laisser son esprit être emporté par des émotions mal gérées. Émotions mal gérées qui nous rendent aveugles face aux situations que nous vivons.
Notre nature véritable est composé de plusieurs choses et pas seulement ce qu’on nous évertue à mettre en avant. On tente de nous faire oublier 90% de ce que nous sommes au travers de séductions multiples et variées et essentiellement au travers du plaisir matériel quotidien. TV, Téléphone, derniers vêtements à la mode, argent, pornographie, même les couleurs des produits que l’on nous sert, l’éducation, l’enseignement, tout est fait pour nous vendre les mérites et plus particulièrement nous détourner de nous, de notre nature véritable, de nos possibilités. Même les mots sont détournés dans leur sens premiers pour que nous oublions notre sens critique, notre vision claire des choses et des situations.
Les sutras
Les sutras
En sanskrit IAST : sūtra ; devanagari सूत्र ; pali : sutta ; signifiant « fil ; aphorisme ; traité de rituel ou canonique »
Le terme s’applique à des écrits spéculatifs ou philosophiques rédigés sous forme d’aphorismes. Ici, l’appellation est métaphorique (ce sont les « fils de la pensée », la « trame des idées »). L’iconographie religieuse bouddhiste a fait du sūtra un symbole de la sagesse car ils revêtent la source même de l’enseignement du Bouddha.
Ce travail qui nous permet d’accéder aux textes en français est un ensemble de sutras parmi les plus importants afin de pouvoir les étudier sans recourir à plusieurs livres.
Je vous souhaite à toutes et tous d’agréables fêtes de fin d’année.
Hervé
Lesintuitions.com
Lesenergies.fr
Quelques rappels en Médecine Traditionnelle Chinoise par lessenceducorps
L’impact des émotions sur les organes.
Chaque émotion attaque un organe cible. Savoir, connaître une possibilité dans une situation, nous permet d’agrandir nos chances de contrebalancer nos désagréments, nos distorsions, qu’elles soient d’origine énergétique, physique ou subtile. Si notre corps a une forte tendance à « stocker » les émotions, les organes les plus faibles seront les premiers touchés. Aussi se connaître, connaître les tendances de notre corps, parfois même les dysfonctionnements dans certaines situations nous permet de pouvoir renforcer nos organes. Une personne consciente de son état est une personne qui aura plus de chance de rétablir sa fluidité intérieure, autrement dit sa santé ou son bien-être, s’il sait où porter son attention et son amour aux endroits où il en a le plus besoin.
Voici quelques principes en médecine traditionnelle chinoise sur lesquels nous pouvons méditer.
- La tristesse attaque les poumons. Pneumothorax, sarcoïdose (inflammation systématique au niveau des poumons)…
- La colère attaque le foie, on peut se créer des hépatites, (se faire de la bile rejoint cette idée) on connait même des cas de cirrhose du foie sans avoir jamais bu une goutte d’alcool…
- La peur attaque les reins. Cas d’une petite fille qui ne savait pas nager et qui a été poussée dans l’eau, aussitôt après, elle a a bloqué ses reins et est restée en dialyse… Aurez-vous remarqué que lorsqu’on est anxieux, certaines personnes vont uriner sans arrêt…
- La souffrance attaque le pancréas, la rate… Continuer la lecture
Dimensions
Les dimensions de l’être sont expansibles et visibles en Amour.
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Dimensions
Lorsque l’amour est présent, lorsque le sentiment amoureux est là, toutes nos dimensions sont présentent parce que tout lâche et s’ouvre à la joie, à la liberté et à la fluidité intérieure. Lorsque je parle d’être amoureux, c’est lorsque deux êtres vouaient à être ensemble se rejoignent. Ce sont toutes les structures subtiles, énergétiques mais aussi celle du physique, les dimensions divines, les connections extra sensorielles, qui se décuplent et se connectent.
Ainsi une expansion formidable se crée et l’amour grandit, grandit et encore grandit. La joie s’immisce dans les cellules et c’est tout le corps qui se voit en transformation. Je ne parle pas de sourire bête, je ne parle pas de désir comme on dit au sens animal du terme, je ne parle pas de se laisser décentrer par le processus, mais je parle du sentiment profond d’être à sa place, sans altération du comportement, je parle du sentiment profond d’être cueilli par ces énergies, cueilli par ce flux continuel de joie intense, d’envie de vivre, de fébrilité de joie intérieure, de tremblements intérieurs qui nous fait sauter de joie, je vous parle d’être au rendez-vous de l’instant.
On prend pour soi
On prend pour soi car nous avons moins d’espace intérieur.
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On prend pour soi
… De même que lorsque nous observons nos pensées dans notre esprit, et même sans les observer, simplement en les vivant inconsciemment, nous les considérons comme les nôtres et nos émotions montent, prennent de la place, nous rendant dépendant de nos ballottements intérieurs. Autrement dit, nous ne gérons plus nos émotions et nos pensées, nous les laissons aller comme un bateau à la dérive. Il en va de même lorsque nous communiquons. Par exemple lorsqu’on lit un texte, nous prenons souvent pour soi ce qui est écrit. Que cela soit dans le domaine privé ou professionnel, lorsque nous lisons une présentation de quelqu’un, un commentaire, une simple demande, sans parler des échanges quotidiens que nous avons avec notre famille, nos ami(e)s et d’autres personnes, nous nous posons que très rarement la question : Parle-t-il de lui ou parle t-il de moi. Parle-t-elle d’elle, parle t-elle de moi ? Qu’elle est la situation ? Dans quel contexte est la situation ? Nous ne faisons plus ce recul. Nous ne prenons plus le temps de finir les situations et nous les portons encore très actives en nous même.
Nous prenons pour nous ce qui est écrit, ce que nous voyons et nous réagissons immédiatement à ce qui ne nous plait pas. Nous regardons bien souvent le côté négatif, c’est à dire le côté du manque, se plaçant à la place d’un correcteur, d’un trouveur de faute, d’un redresseur de tort, sans se placer dans le contexte de la situation et sans observer la situation dans tous ces détails.